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Auteur Rabemananjara, Raymond |
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Activités de la prévention de la transmission de la mère à l'enfant du VIH/SIDA à Mahajanga I / Rabemananjara, Raymond
Titre : Activités de la prévention de la transmission de la mère à l'enfant du VIH/SIDA à Mahajanga I Type de document : texte imprimé Auteurs : Rabemananjara, Raymond, Editeur : Université de Mahajanga Année de publication : 2014 Importance : 70 p. Présentation : 17 ill., 09tabl., 68 réf. Format : 30cm Note générale : MALADIES SEXUELLEMENT TRANSMISSIBLES Catégories : SCIENCES MEDICALES Mots-clés : MADAGASIKARA MOLECULE ANTI RETROVIRALE PREVENTION DE LA TRANSMISSION MERE-ENFANT (PTME) Mahajanga VIH/SIDA SERO - DIAGNOSTIC Résumé : Il n'existe pas de moyen de guérir de l'infection à VIH. En revanche, la Prévention de la Transmission de la Mère-Enfant (PTME) du VIH est un moyen d'éviter la contamination des enfants et permet aux mères de continuer à mener une vie productive et en bonne santé, dont l'efficacité est de notoriété internationale. Nous avons réalisé une étude retrospective et prospective descriptive de toutes les femmes enceintes ou accouchées séropositives ayant bénéficié de la PTME sur une période de 72 mois s'étalant du 01 Janvier 2008 au 31 décembre 2013 au niveau de l'unité des maladies transmissibles au Centre de Santé Intégré Mahabibo Mahajanga répondant aux critères de l'OMS. Nous avons colligé 42 mères séropositives et ayant bénéficié la PTME. L'âge moyen de notre échantillon était de 27,4 ans avec l'âge extrême de 19 et 44 ans. les ménagères et le niveau scolaire secondaire sont les plus touchés , soient respectivement 61,9 pour cent et 42,9 pour cent. La majorité de ces femmes (92,8 pour cent ) habitent à Mahajanga ville avec prédominance des quartiers Aranta (20,5 pour cent) et Tsararano (12,8 pour cent). Plus de la moitié de nos patientes (54,8 pour cent) vivent en concubinage, 64,3 pour cent sont dépistées pendant la CPN lors de l'intervention de la PTME, mais 71,43 pour cent de leur partenaire n'ont pas voulu connaître leur statut sérologique. Dans notre étude, 10 enfants sur 42 sont contaminés par l'infection VIH soit 23,8 pour cent- 19,1 pour cent sont des enfants âgés de moins de 18 mois qui ne sont pas diagnostiqués dus à l'absence de la PCR. La quasi-totalié des femmes a accouché par voie basse soit 95,2 pour cent et 42,86 pour cent des enfants ont été allaités artificiellement. Quatre mères sont décédées, en moyenne 23 mois et 1 semaine après traitement antirétroviral et 3 sur ces 10 enfants contaminés sont décédés à l'âge de 3 mois, 15 mois et 4 ans. Les facteurs liés au taux de transmission élevé et au décès étaient l'échec du traitement antirétroviral et de la prophylaxie, dû à une rupture de stock répétitive, de perdues de vue, une inobservance thérapeutique, le manque de surveillance de l'accouchement et le suivi post natal. Tout ceci nous incite à croire que la réussite de la PTME reposerait en grande partie, non seulement sur la qualité des services posés par les autorités sanitaires et les personnels de santé, mais également sur le soutien psychosocial de la communauté et la participation initiative des femmes- - - Numéro du document : 14N Niveau Bibliographique : 1 Indicateur Bibliographique : U Bull1 (Theme principale) : MALADIES SEXUELLEMENT TRANSMISSIBLES Activités de la prévention de la transmission de la mère à l'enfant du VIH/SIDA à Mahajanga I [texte imprimé] / Rabemananjara, Raymond, . - Université de Mahajanga, 2014 . - 70 p. : 17 ill., 09tabl., 68 réf. ; 30cm.
MALADIES SEXUELLEMENT TRANSMISSIBLES
Catégories : SCIENCES MEDICALES Mots-clés : MADAGASIKARA MOLECULE ANTI RETROVIRALE PREVENTION DE LA TRANSMISSION MERE-ENFANT (PTME) Mahajanga VIH/SIDA SERO - DIAGNOSTIC Résumé : Il n'existe pas de moyen de guérir de l'infection à VIH. En revanche, la Prévention de la Transmission de la Mère-Enfant (PTME) du VIH est un moyen d'éviter la contamination des enfants et permet aux mères de continuer à mener une vie productive et en bonne santé, dont l'efficacité est de notoriété internationale. Nous avons réalisé une étude retrospective et prospective descriptive de toutes les femmes enceintes ou accouchées séropositives ayant bénéficié de la PTME sur une période de 72 mois s'étalant du 01 Janvier 2008 au 31 décembre 2013 au niveau de l'unité des maladies transmissibles au Centre de Santé Intégré Mahabibo Mahajanga répondant aux critères de l'OMS. Nous avons colligé 42 mères séropositives et ayant bénéficié la PTME. L'âge moyen de notre échantillon était de 27,4 ans avec l'âge extrême de 19 et 44 ans. les ménagères et le niveau scolaire secondaire sont les plus touchés , soient respectivement 61,9 pour cent et 42,9 pour cent. La majorité de ces femmes (92,8 pour cent ) habitent à Mahajanga ville avec prédominance des quartiers Aranta (20,5 pour cent) et Tsararano (12,8 pour cent). Plus de la moitié de nos patientes (54,8 pour cent) vivent en concubinage, 64,3 pour cent sont dépistées pendant la CPN lors de l'intervention de la PTME, mais 71,43 pour cent de leur partenaire n'ont pas voulu connaître leur statut sérologique. Dans notre étude, 10 enfants sur 42 sont contaminés par l'infection VIH soit 23,8 pour cent- 19,1 pour cent sont des enfants âgés de moins de 18 mois qui ne sont pas diagnostiqués dus à l'absence de la PCR. La quasi-totalié des femmes a accouché par voie basse soit 95,2 pour cent et 42,86 pour cent des enfants ont été allaités artificiellement. Quatre mères sont décédées, en moyenne 23 mois et 1 semaine après traitement antirétroviral et 3 sur ces 10 enfants contaminés sont décédés à l'âge de 3 mois, 15 mois et 4 ans. Les facteurs liés au taux de transmission élevé et au décès étaient l'échec du traitement antirétroviral et de la prophylaxie, dû à une rupture de stock répétitive, de perdues de vue, une inobservance thérapeutique, le manque de surveillance de l'accouchement et le suivi post natal. Tout ceci nous incite à croire que la réussite de la PTME reposerait en grande partie, non seulement sur la qualité des services posés par les autorités sanitaires et les personnels de santé, mais également sur le soutien psychosocial de la communauté et la participation initiative des femmes- - - Numéro du document : 14N Niveau Bibliographique : 1 Indicateur Bibliographique : U Bull1 (Theme principale) : MALADIES SEXUELLEMENT TRANSMISSIBLES Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité Origine 219 T4553 (VE4) Livre CIDST Bibliotheque DDI Exclu du prêt Activités de la prévention de la transmission de la mère à l'enfant du VIH/SIDA à Mahajanga I / Rabemananjara, Raymond
Titre : Activités de la prévention de la transmission de la mère à l'enfant du VIH/SIDA à Mahajanga I Type de document : texte imprimé Auteurs : Rabemananjara, Raymond, Editeur : Université de Mahajanga Année de publication : 2014 Importance : 70 p. Présentation : 17 ill., 09tabl., 68 réf. Format : 30cm Note générale : INFECTIONS VIRALES Catégories : SCIENCES MEDICALES Mots-clés : MADAGASIKARA VIH/SIDA MOLECULE ANTI RETROVIRALE PREVENTION DE LA TRANSMISSION MERE-ENFANT (PTME) Mahajanga MALADIE SEXUELLEMENT TRANSMISSIBLE SERO - DIAGNOSTIC Résumé : Il n'existe pas de moyen de guérir de l'infection à VIH. En revanche, la Prévention de la Transmission de la Mère-Enfant (PTME) du VIH est un moyen d'éviter la contamination des enfants et permet aux mères de continuer à mener une vie productive et en bonne santé, dont l'efficacité est de notoriété internationale. Nous avons réalisé une étude retrospective et prospective descriptive de toutes les femmes enceintes ou accouchées séropositives ayant bénéficié de la PTME sur une période de 72 mois s'étalant du 01 Janvier 2008 au 31 décembre 2013 au niveau de l'unité des maladies transmissibles au Centre de Santé Intégré Mahabibo Mahajanga répondant aux critères de l'OMS. Nous avons colligé 42 mères séropositives et ayant bénéficié la PTME. L'âge moyen de notre échantillon était de 27,4 ans avec l'âge extrême de 19 et 44 ans. les ménagères et le niveau scolaire secondaire sont les plus touchés , soient respectivement 61,9 pour cent et 42,9 pour cent. La majorité de ces femmes (92,8 pour cent ) habitent à Mahajanga ville avec prédominance des quartiers Aranta (20,5 pour cent) et Tsararano (12,8 pour cent). Plus de la moitié de nos patientes (54,8 pour cent) vivent en concubinage, 64,3 pour cent sont dépistées pendant la CPN lors de l'intervention de la PTME, mais 71,43 pour cent de leur partenaire n'ont pas voulu connaître leur statut sérologique. Dans notre étude, 10 enfants sur 42 sont contaminés par l'infection VIH soit 23,8 pour cent- 19,1 pour cent sont des enfants âgés de moins de 18 mois qui ne sont pas diagnostiqués dus à l'absence de la PCR. La quasi-totalié des femmes a accouché par voie basse soit 95,2 pour cent et 42,86 pour cent des enfants ont été allaités artificiellement. Quatre mères sont décédées, en moyenne 23 mois et 1 semaine après traitement antirétroviral et 3 sur ces 10 enfants contaminés sont décédés à l'âge de 3 mois, 15 mois et 4 ans. Les facteurs liés au taux de transmission élevé et au décès étaient l'échec du traitement antirétroviral et de la prophylaxie, dû à une rupture de stock répétitive, de perdues de vue, une inobservance thérapeutique, le manque de surveillance de l'accouchement et le suivi post natal. Tout ceci nous incite à croire que la réussite de la PTME reposerait en grande partie, non seulement sur la qualité des services posés par les autorités sanitaires et les personnels de santé, mais également sur le soutien psychosocial de la communauté et la participation initiative des femmes- - - Numéro du document : 14N Niveau Bibliographique : 1 Indicateur Bibliographique : U Bull1 (Theme principale) : INFECTIONS VIRALES Activités de la prévention de la transmission de la mère à l'enfant du VIH/SIDA à Mahajanga I [texte imprimé] / Rabemananjara, Raymond, . - Université de Mahajanga, 2014 . - 70 p. : 17 ill., 09tabl., 68 réf. ; 30cm.
INFECTIONS VIRALES
Catégories : SCIENCES MEDICALES Mots-clés : MADAGASIKARA VIH/SIDA MOLECULE ANTI RETROVIRALE PREVENTION DE LA TRANSMISSION MERE-ENFANT (PTME) Mahajanga MALADIE SEXUELLEMENT TRANSMISSIBLE SERO - DIAGNOSTIC Résumé : Il n'existe pas de moyen de guérir de l'infection à VIH. En revanche, la Prévention de la Transmission de la Mère-Enfant (PTME) du VIH est un moyen d'éviter la contamination des enfants et permet aux mères de continuer à mener une vie productive et en bonne santé, dont l'efficacité est de notoriété internationale. Nous avons réalisé une étude retrospective et prospective descriptive de toutes les femmes enceintes ou accouchées séropositives ayant bénéficié de la PTME sur une période de 72 mois s'étalant du 01 Janvier 2008 au 31 décembre 2013 au niveau de l'unité des maladies transmissibles au Centre de Santé Intégré Mahabibo Mahajanga répondant aux critères de l'OMS. Nous avons colligé 42 mères séropositives et ayant bénéficié la PTME. L'âge moyen de notre échantillon était de 27,4 ans avec l'âge extrême de 19 et 44 ans. les ménagères et le niveau scolaire secondaire sont les plus touchés , soient respectivement 61,9 pour cent et 42,9 pour cent. La majorité de ces femmes (92,8 pour cent ) habitent à Mahajanga ville avec prédominance des quartiers Aranta (20,5 pour cent) et Tsararano (12,8 pour cent). Plus de la moitié de nos patientes (54,8 pour cent) vivent en concubinage, 64,3 pour cent sont dépistées pendant la CPN lors de l'intervention de la PTME, mais 71,43 pour cent de leur partenaire n'ont pas voulu connaître leur statut sérologique. Dans notre étude, 10 enfants sur 42 sont contaminés par l'infection VIH soit 23,8 pour cent- 19,1 pour cent sont des enfants âgés de moins de 18 mois qui ne sont pas diagnostiqués dus à l'absence de la PCR. La quasi-totalié des femmes a accouché par voie basse soit 95,2 pour cent et 42,86 pour cent des enfants ont été allaités artificiellement. Quatre mères sont décédées, en moyenne 23 mois et 1 semaine après traitement antirétroviral et 3 sur ces 10 enfants contaminés sont décédés à l'âge de 3 mois, 15 mois et 4 ans. Les facteurs liés au taux de transmission élevé et au décès étaient l'échec du traitement antirétroviral et de la prophylaxie, dû à une rupture de stock répétitive, de perdues de vue, une inobservance thérapeutique, le manque de surveillance de l'accouchement et le suivi post natal. Tout ceci nous incite à croire que la réussite de la PTME reposerait en grande partie, non seulement sur la qualité des services posés par les autorités sanitaires et les personnels de santé, mais également sur le soutien psychosocial de la communauté et la participation initiative des femmes- - - Numéro du document : 14N Niveau Bibliographique : 1 Indicateur Bibliographique : U Bull1 (Theme principale) : INFECTIONS VIRALES Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité Origine 40648 T4553 (VE4) Livre CIDST Bibliotheque DDI Exclu du prêt