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Centre de Recherches et d'Etudes d'Appui à l'Analyse Economique à Madagasikara (CREAM) |
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Les conditions du marché du travail dans un contexte de crise à Madagasikara : cas de l'année 2010 / Razafimanantena, Tiaray Edouard
Titre : Les conditions du marché du travail dans un contexte de crise à Madagasikara : cas de l'année 2010 : *** Auteurs : Razafimanantena, Tiaray Edouard, Editeur : Centre de Recherches et d'Etudes d'Appui à l'Analyse Economique à Madagasikara (CREAM) Année de publication : 2013 Importance : 61 p Format : 30 cm Note générale : TRAVAIL ET EMPLOI Mots-clés : MADAGASIKARA EMPLOI MARCHE DU TRAVAIL CHOMAGE SALAIRES Résumé : La crise politique que traverse le Pays depuis 2009 s'est élargie en des crises économiques et sociales. Quelles que soient les sources d'information de 2009 à 2012, les taux de croissance économiques enregistrés ont été inférieurs aux taux de croissance de la population active. L'incidence de la pauvreté s'est accrue pour atteindre 76,5 pour cent en 2010. Ces 2 constats montrent que le rendement des travailleurs et surtout le revenu du travail ont baissé. Ainsi, la présente étude vise à approfondir la compréhension des caractéristiques et des évolutions temporelles du marché de travail à Madagasikara. Elle aboutit à des recommendations en vue de la reprise et du développement de ce marché. En premier lieu, les données statistiques et informations disponibles ont servi à décrire ce marché, ensuite les théories sur le marché du travail ont été résumées et ont servi aux choix des modèles économétriques pour les déterminants des activités et des revenus. En 2011 et 2012, il n'y pas eu d'améliorations importantes pour que l'on puisse affirmer que les principaux résultats qui suivent ne soient plus d'actualité. Les résultats des analyses économétriques montrent qu'être un membre principal du ménage 'contraint' à travailler. On s'attend à ce que le nombre d'enfants en bas âge dans son ménage influence les femmes à choisir de ne pas travailler. Cela n'est plus le cas en 2010 car ce nombre n'influe pas sur les activités des femmes. Le niveau d'instruction influe sur la probabilité d'exercer une activité formelle mais pas autant qu'en 2005. En milieu urbain, le niveau universitaire augmente plus la probabilité d'exercer dans l'informel que dans le formel (en particulier pour les femmes). Le fait d'habiter un GCU, plus développé, offre plus de possibilités de 'bons' emplois aux hommes qu'aux femmes. Pour les hommes, l'obtention d'un crédit favorise l'exercice de l'agriculture en milieu rural et défavorise l'inactivité. Par contre l'obtention de transfert favorise l'inactivité et défavorise l'exercice de l'agriculture quel que soit le milieu de résidence et quel que soit le genre. Pour ce qui est des activités des enfants âgés de 10à 14 ans, il n'y a pas de différence apparente de traitement entre les garçons et les filles sauf pour l'inactivité en milieu urbain (une fille a 5 pour cent de probabilité de plus de ni travailler ni aller à l'école qu'un garçon). L'âge augmente la probabilité de travailler au détriment de l'école. En milieu urbain, être un enfant du chef de ménage diminue la probabilité de travailler en substitution de l'école. Le fait que le ménage ait reçu du crédit favorise l'école d'une manière exclusive (ne pas travailler). Etre un enfant d'un ménage pauvre n'est pas un déterminant significatif de la situation (travail et école) d'un enfant sauf pour les plus pauvres en milieu rural. Cette étude a montré que les faiblesses du marché de travail à Madagasikara ne proviennent pas seulement de la crise politique que traverse le Pays à partir de l'année 2009, néanmoins elle a engendré plus de précarisations de l'emploi. En conséquence, les activités économiques pratiquées par la majorité permettent de suivre et non de lutter contre la pauvreté ni de développer le Pays. Acourt terme, il faudrait restaurer la confiance mutuelle entre l'Etat, les entrepreneurs, les travailleurs et les consommateurs. Les analyses économétriques ont montré que pour encourager les activités économiques, l'octroi des crédits aux travailleurs est meilleur que les transferts, par ailleurs les appuis aux entreprises pour relancer les activités doivent être conditionnés par des créations d'emplois ou tout au moins au retour des emplois perdus. A cela s'accompagne une contribution des travailleurs pour plus de rendement. Ce dernier point contribuera à l'édification d'une culture de travail à Madagasikara. Pour ce qui est du moyen et long terme, malgré les remises en cause par des rares cas particuliers, les analyses ont montré que le niveau d'instructions a des effets bénéfiques directs pour le travailleur, pour un enfant du ménage et des externalités positives pour les entrepreneurs. Il faudrait rattraper le manque d'instructions par la formation continue, la formation diplomante et une validation plus formelle des acquis de l'expérience. La complémentarité entre le capital et le travail milite pour l'importance des investissements privés pour le développement du marché de travail- - - Note de contenu : - - - - - - Numéro du document : 19N Niveau Bibliographique : 3 Bull1 (Theme principale) : TRAVAIL ET EMPLOI Les conditions du marché du travail dans un contexte de crise à Madagasikara : cas de l'année 2010 : *** [] / Razafimanantena, Tiaray Edouard, . - Centre de Recherches et d'Etudes d'Appui à l'Analyse Economique à Madagasikara (CREAM), 2013 . - 61 p ; 30 cm.
TRAVAIL ET EMPLOI
Mots-clés : MADAGASIKARA EMPLOI MARCHE DU TRAVAIL CHOMAGE SALAIRES Résumé : La crise politique que traverse le Pays depuis 2009 s'est élargie en des crises économiques et sociales. Quelles que soient les sources d'information de 2009 à 2012, les taux de croissance économiques enregistrés ont été inférieurs aux taux de croissance de la population active. L'incidence de la pauvreté s'est accrue pour atteindre 76,5 pour cent en 2010. Ces 2 constats montrent que le rendement des travailleurs et surtout le revenu du travail ont baissé. Ainsi, la présente étude vise à approfondir la compréhension des caractéristiques et des évolutions temporelles du marché de travail à Madagasikara. Elle aboutit à des recommendations en vue de la reprise et du développement de ce marché. En premier lieu, les données statistiques et informations disponibles ont servi à décrire ce marché, ensuite les théories sur le marché du travail ont été résumées et ont servi aux choix des modèles économétriques pour les déterminants des activités et des revenus. En 2011 et 2012, il n'y pas eu d'améliorations importantes pour que l'on puisse affirmer que les principaux résultats qui suivent ne soient plus d'actualité. Les résultats des analyses économétriques montrent qu'être un membre principal du ménage 'contraint' à travailler. On s'attend à ce que le nombre d'enfants en bas âge dans son ménage influence les femmes à choisir de ne pas travailler. Cela n'est plus le cas en 2010 car ce nombre n'influe pas sur les activités des femmes. Le niveau d'instruction influe sur la probabilité d'exercer une activité formelle mais pas autant qu'en 2005. En milieu urbain, le niveau universitaire augmente plus la probabilité d'exercer dans l'informel que dans le formel (en particulier pour les femmes). Le fait d'habiter un GCU, plus développé, offre plus de possibilités de 'bons' emplois aux hommes qu'aux femmes. Pour les hommes, l'obtention d'un crédit favorise l'exercice de l'agriculture en milieu rural et défavorise l'inactivité. Par contre l'obtention de transfert favorise l'inactivité et défavorise l'exercice de l'agriculture quel que soit le milieu de résidence et quel que soit le genre. Pour ce qui est des activités des enfants âgés de 10à 14 ans, il n'y a pas de différence apparente de traitement entre les garçons et les filles sauf pour l'inactivité en milieu urbain (une fille a 5 pour cent de probabilité de plus de ni travailler ni aller à l'école qu'un garçon). L'âge augmente la probabilité de travailler au détriment de l'école. En milieu urbain, être un enfant du chef de ménage diminue la probabilité de travailler en substitution de l'école. Le fait que le ménage ait reçu du crédit favorise l'école d'une manière exclusive (ne pas travailler). Etre un enfant d'un ménage pauvre n'est pas un déterminant significatif de la situation (travail et école) d'un enfant sauf pour les plus pauvres en milieu rural. Cette étude a montré que les faiblesses du marché de travail à Madagasikara ne proviennent pas seulement de la crise politique que traverse le Pays à partir de l'année 2009, néanmoins elle a engendré plus de précarisations de l'emploi. En conséquence, les activités économiques pratiquées par la majorité permettent de suivre et non de lutter contre la pauvreté ni de développer le Pays. Acourt terme, il faudrait restaurer la confiance mutuelle entre l'Etat, les entrepreneurs, les travailleurs et les consommateurs. Les analyses économétriques ont montré que pour encourager les activités économiques, l'octroi des crédits aux travailleurs est meilleur que les transferts, par ailleurs les appuis aux entreprises pour relancer les activités doivent être conditionnés par des créations d'emplois ou tout au moins au retour des emplois perdus. A cela s'accompagne une contribution des travailleurs pour plus de rendement. Ce dernier point contribuera à l'édification d'une culture de travail à Madagasikara. Pour ce qui est du moyen et long terme, malgré les remises en cause par des rares cas particuliers, les analyses ont montré que le niveau d'instructions a des effets bénéfiques directs pour le travailleur, pour un enfant du ménage et des externalités positives pour les entrepreneurs. Il faudrait rattraper le manque d'instructions par la formation continue, la formation diplomante et une validation plus formelle des acquis de l'expérience. La complémentarité entre le capital et le travail milite pour l'importance des investissements privés pour le développement du marché de travail- - - Note de contenu : - - - - - - Numéro du document : 19N Niveau Bibliographique : 3 Bull1 (Theme principale) : TRAVAIL ET EMPLOI Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité Origine 41801 A 10245/ATE 134 Livre CIDST Bibliotheque DDI Exclu du prêt Exportations, Croissance Economique et Intégration Régionale : quels produits à exporter pour répondre aux potentialités commerciales de Madagasikara sur les marchés régionaux? / Andriambelosoa, Saminirina- Rasolofo, Adamson
Titre : Exportations, Croissance Economique et Intégration Régionale : quels produits à exporter pour répondre aux potentialités commerciales de Madagasikara sur les marchés régionaux? : *** Auteurs : Andriambelosoa, Saminirina- Rasolofo, Adamson, Editeur : Centre de Recherches et d'Etudes d'Appui à l'Analyse Economique à Madagasikara (CREAM) Année de publication : 2013 Importance : 40 p Format : 30 cm Note générale : ECONOMETRIE Mots-clés : ECHANGE ECONOMIQUE EXPORTATION CROISSANCE ECONOMIQUE INTEGRATION REGIONALE MARCHE Résumé : Les dirigeants africains sont persuadés que l'intégration régionale demeure la stratégie clef, permettant d'accélérer au développement de leur pays, fragmentés en petites économies. Les exigences de la mondialisation, ces dernières décennies, ont rendu cet impératif encore plus pressant et ont contraint les pays dans une même région d'intégrer leur économie, dans des blocs économiques plus ou moins importants et plus compétitifs afin de pouvoir prendre part aux échanges internationaux en tant que puissance régionale. Toutefois, en dépit de l'engagement politique et des efforts déployés pour traduire dans les faits la vision d'intégration régionale, les résultats obtenus restent mitigés. Les échanges intrarégionales demeurent faibles car les pays ne sont pas disposés à réduire les liens commerciaux existants avec des pays non membres. Pour Madagasikara, l'adhésion à des différentes CER, entre autres, le COMESA (1994) et la SADC (2005), n'améliore pas significativement ses exportations vers les pays membres de ces 2 communautés économiques régionales. Sur les 5 dernières années, en moyenne, 3 et 4 pour cent des exportations totales du pays vont respectivement vers le COMESA et la SADC. Toutefois les marchés régionaux semblent sous-exploités par Madagasikara. En effet, en tenant compte du nombre et du pouvoir d'achat des consommateurs des 2 CER ainsi que la contrainte liée à la distance de marchés, le modèle de gravité, appliqué sur Madagasikara et ses partenaires régionaux, trouve qu'entre 2006 et 2010, le pays n'exploite que 34 pour cent et 87,8 pour cent de ses potentialités commerciales, respectivement au sein de la SADC et du COMESA. Par ailleurs, les perspectives réelles des échanges entre pays ne sont pas suffisantes sans savoir les produits dont les marchés potentiels ont besoin. Une étude par produit des échanges commerciaux des pays de la SADC et du COMESA montre qu'en 2006 et 2010, les 2 CER sont importateurs nets des produits de l'agro-industrie, dont Madagasikara peut en produire à grande échelle, en tenant compte de ses avantages comparatifs potentiels. En première position, en terme de valeur, se trouve le 'Blé et farine de blé', cultivé et produit à Madagasikara, même en petite échelle. Pour le COMESA, la Communauté a un gap annuel de 9 millions de tonnes dont 7,5 millions de tonnes en blé dur. L'Egypte lui seule a importé annuellement 6 millions de tonnes de blé dur, suivi par le Soudan (927400 tonnes). Au sein de la SADC, le besoin annuel du bloc économique en blé tendre est estimé à 2,7 millions de tonnes, dont 1 million de tonnes pour l'Afrique du Sud. Les 2 CER sont aussi déficitaires en huiles alimentaires, fabriquées à partir de soja, de palme, de carthame et de tournesol. En effet, le COMESA est importateur net annuel d'huile alimentaire d'une valeur estimative de 2 milliards d'USD contre 1,1 milliard d'USD pour la SADC. D'autres céréales cultivables à Madagasikara intéressent aussi les marchés régionaux. Le COMESA, par exemple a besoin de près de 5 millions de tonnes de mais tandisn que la SADC est importateur net de plus de 1 million de tonnes de riz blanc. Les produits de l'élevage entre autres la viande bovine, les volailles et le lait et dérivés ainsi que les produits de la pêche comme le thon sont aussi importés avec un montant significatif par les 2 CER dans des pays non membres. Enfin, les produits textiles malagasy pourraient aussi être exportés vers le COMESA, en particulier le Soudan où ce pays en importe chaque année à hauteur d'environ 150 millions d'USD- - - Note de contenu : - - - - - - Numéro du document : 19N Niveau Bibliographique : 3 Bull1 (Theme principale) : ECONOMETRIE Exportations, Croissance Economique et Intégration Régionale : quels produits à exporter pour répondre aux potentialités commerciales de Madagasikara sur les marchés régionaux? : *** [] / Andriambelosoa, Saminirina- Rasolofo, Adamson, . - Centre de Recherches et d'Etudes d'Appui à l'Analyse Economique à Madagasikara (CREAM), 2013 . - 40 p ; 30 cm.
ECONOMETRIE
Mots-clés : ECHANGE ECONOMIQUE EXPORTATION CROISSANCE ECONOMIQUE INTEGRATION REGIONALE MARCHE Résumé : Les dirigeants africains sont persuadés que l'intégration régionale demeure la stratégie clef, permettant d'accélérer au développement de leur pays, fragmentés en petites économies. Les exigences de la mondialisation, ces dernières décennies, ont rendu cet impératif encore plus pressant et ont contraint les pays dans une même région d'intégrer leur économie, dans des blocs économiques plus ou moins importants et plus compétitifs afin de pouvoir prendre part aux échanges internationaux en tant que puissance régionale. Toutefois, en dépit de l'engagement politique et des efforts déployés pour traduire dans les faits la vision d'intégration régionale, les résultats obtenus restent mitigés. Les échanges intrarégionales demeurent faibles car les pays ne sont pas disposés à réduire les liens commerciaux existants avec des pays non membres. Pour Madagasikara, l'adhésion à des différentes CER, entre autres, le COMESA (1994) et la SADC (2005), n'améliore pas significativement ses exportations vers les pays membres de ces 2 communautés économiques régionales. Sur les 5 dernières années, en moyenne, 3 et 4 pour cent des exportations totales du pays vont respectivement vers le COMESA et la SADC. Toutefois les marchés régionaux semblent sous-exploités par Madagasikara. En effet, en tenant compte du nombre et du pouvoir d'achat des consommateurs des 2 CER ainsi que la contrainte liée à la distance de marchés, le modèle de gravité, appliqué sur Madagasikara et ses partenaires régionaux, trouve qu'entre 2006 et 2010, le pays n'exploite que 34 pour cent et 87,8 pour cent de ses potentialités commerciales, respectivement au sein de la SADC et du COMESA. Par ailleurs, les perspectives réelles des échanges entre pays ne sont pas suffisantes sans savoir les produits dont les marchés potentiels ont besoin. Une étude par produit des échanges commerciaux des pays de la SADC et du COMESA montre qu'en 2006 et 2010, les 2 CER sont importateurs nets des produits de l'agro-industrie, dont Madagasikara peut en produire à grande échelle, en tenant compte de ses avantages comparatifs potentiels. En première position, en terme de valeur, se trouve le 'Blé et farine de blé', cultivé et produit à Madagasikara, même en petite échelle. Pour le COMESA, la Communauté a un gap annuel de 9 millions de tonnes dont 7,5 millions de tonnes en blé dur. L'Egypte lui seule a importé annuellement 6 millions de tonnes de blé dur, suivi par le Soudan (927400 tonnes). Au sein de la SADC, le besoin annuel du bloc économique en blé tendre est estimé à 2,7 millions de tonnes, dont 1 million de tonnes pour l'Afrique du Sud. Les 2 CER sont aussi déficitaires en huiles alimentaires, fabriquées à partir de soja, de palme, de carthame et de tournesol. En effet, le COMESA est importateur net annuel d'huile alimentaire d'une valeur estimative de 2 milliards d'USD contre 1,1 milliard d'USD pour la SADC. D'autres céréales cultivables à Madagasikara intéressent aussi les marchés régionaux. Le COMESA, par exemple a besoin de près de 5 millions de tonnes de mais tandisn que la SADC est importateur net de plus de 1 million de tonnes de riz blanc. Les produits de l'élevage entre autres la viande bovine, les volailles et le lait et dérivés ainsi que les produits de la pêche comme le thon sont aussi importés avec un montant significatif par les 2 CER dans des pays non membres. Enfin, les produits textiles malagasy pourraient aussi être exportés vers le COMESA, en particulier le Soudan où ce pays en importe chaque année à hauteur d'environ 150 millions d'USD- - - Note de contenu : - - - - - - Numéro du document : 19N Niveau Bibliographique : 3 Bull1 (Theme principale) : ECONOMETRIE Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité Origine 41815 AA 8534/ECO 952 Livre CIDST Bibliotheque DDI Exclu du prêt