Titre : |
Abondons en planification familiale chez les femmes en activité génitale dans la ville de Mahajanga |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Santatra Tsitohaina Razafimahery (2021), Auteur |
Editeur : |
Université de Mahajanga |
Année de publication : |
2021 |
Importance : |
85 p. |
Présentation : |
72 réf.; 12 ill.; 27 tab. |
Format : |
31cm |
Note générale : |
Thèse en Médecine, 1761 |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
SCIENCES MEDICALES
|
Mots-clés : |
ABONDON DE LA CONTRACEPTION PLANIFICATION FAMILIALE FEMME EN ACTIVITE GENITALE METHODE CONTRACEPTIVE |
Index. décimale : |
304.66 Contrôle de la population, Planning familiale, birth control |
Résumé : |
La planification familiale constitue une base de la santé de reproduction et peut contribuer à la réalisation de presque tous les objectifs du développement du millénaire, y compris la réduction de la pauvreté et de la faim, la promotion de l'égalité entre les genres et l'habilitation des femmes, la réduction des taux de mortalité infantile et l'amélioration de la santé maternelle. L'objectif de cette présente étude est d'identifier les causes d'abondon des femmes en matière de contraception à Mahajanga. Il s'agit d'une étude épidémiologique observationnelle descriptive et transversale sur une période de 3 mois , allant du 01Aout au 31Octobre 2019 dans la ville de MahajangaI portant sur 257 femmes. L'âge moyen des femmes enquêtées est de 25,53+/-5,63 ans, célibataires dans 50,19% des cas, de niveau secondaire minimum (86,40%) et non salariés (73,90%). Elles connaissent toutes les méthodes contraceptives modernes dont le DIU (94,94%), la forme orale (86,77%), la forme injectable (83,27%) et le préservatif masculin (70,82%)et 89,10% sont favorables ou plutôt favorables à la planification familiale. La contraception orale est la plus utilisée avec 33,50% suivie de la contraception injectable avec 31,90%. Dans 95,30% des cas, les femmes enquêtées ont abondonné de façon temporaire la contraception et les principaux motifs évoqués sont le désir d'enfant (31,50%), l'opposition du mari ou du partenaire (27,20%), les effets secondaires (10,50%), les rumeurs (10,10%) et l'échec (8,20%). Lors de la reprise, 87,20% des femmes sont restées fidèles à la dernière méthode utilisée alors que 12,20% ont changé de méthode. Il y a 87,16% des enquêtées qui ont été faciles à convaincre sur l'utilisation de la planification familiale dans le futur. La peur des effets secondaires (48,50%) ou la crainte des rumeurs (51,50%) ont été les obstacles les plus cités rendant les autres femmes réticentes sur l'utilisation de la planification familiale à l'avenir. |
Numéro du document : |
T4998(SP) |
Niveau Bibliographique : |
1 |
Indicateur Bibliographique : |
U |
Bull1 (Theme principale) : |
SANTE PUBLIQUE |
Bull2 (Theme secondaire) : |
PLANIFICATION FAMILIALE |
Abondons en planification familiale chez les femmes en activité génitale dans la ville de Mahajanga [texte imprimé] / Santatra Tsitohaina Razafimahery (2021), Auteur . - Université de Mahajanga, 2021 . - 85 p. : 72 réf.; 12 ill.; 27 tab. ; 31cm. Thèse en Médecine, 1761 Langues : Français ( fre)
Catégories : |
SCIENCES MEDICALES
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Mots-clés : |
ABONDON DE LA CONTRACEPTION PLANIFICATION FAMILIALE FEMME EN ACTIVITE GENITALE METHODE CONTRACEPTIVE |
Index. décimale : |
304.66 Contrôle de la population, Planning familiale, birth control |
Résumé : |
La planification familiale constitue une base de la santé de reproduction et peut contribuer à la réalisation de presque tous les objectifs du développement du millénaire, y compris la réduction de la pauvreté et de la faim, la promotion de l'égalité entre les genres et l'habilitation des femmes, la réduction des taux de mortalité infantile et l'amélioration de la santé maternelle. L'objectif de cette présente étude est d'identifier les causes d'abondon des femmes en matière de contraception à Mahajanga. Il s'agit d'une étude épidémiologique observationnelle descriptive et transversale sur une période de 3 mois , allant du 01Aout au 31Octobre 2019 dans la ville de MahajangaI portant sur 257 femmes. L'âge moyen des femmes enquêtées est de 25,53+/-5,63 ans, célibataires dans 50,19% des cas, de niveau secondaire minimum (86,40%) et non salariés (73,90%). Elles connaissent toutes les méthodes contraceptives modernes dont le DIU (94,94%), la forme orale (86,77%), la forme injectable (83,27%) et le préservatif masculin (70,82%)et 89,10% sont favorables ou plutôt favorables à la planification familiale. La contraception orale est la plus utilisée avec 33,50% suivie de la contraception injectable avec 31,90%. Dans 95,30% des cas, les femmes enquêtées ont abondonné de façon temporaire la contraception et les principaux motifs évoqués sont le désir d'enfant (31,50%), l'opposition du mari ou du partenaire (27,20%), les effets secondaires (10,50%), les rumeurs (10,10%) et l'échec (8,20%). Lors de la reprise, 87,20% des femmes sont restées fidèles à la dernière méthode utilisée alors que 12,20% ont changé de méthode. Il y a 87,16% des enquêtées qui ont été faciles à convaincre sur l'utilisation de la planification familiale dans le futur. La peur des effets secondaires (48,50%) ou la crainte des rumeurs (51,50%) ont été les obstacles les plus cités rendant les autres femmes réticentes sur l'utilisation de la planification familiale à l'avenir. |
Numéro du document : |
T4998(SP) |
Niveau Bibliographique : |
1 |
Indicateur Bibliographique : |
U |
Bull1 (Theme principale) : |
SANTE PUBLIQUE |
Bull2 (Theme secondaire) : |
PLANIFICATION FAMILIALE |
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