[article] 
inRevue Internationale de Sciences Politiques > Vol.41 N°04 (Sep 2020) . - p. 507-521

Titre :	Eclecticism and the future of the burden-sharing research programme: Why Trump is wrong
Titre original :	L'éclectisme et l'avenir du programme de recherche sur le partage des charges : Pourquoi Trump a tort
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Benjamin Zyla, Auteur
Année de publication :	2020
Article en page(s) :	p. 507-521
Langues :	Anglais (eng) Langues originales : Anglais (eng)
Catégories :	SCIENCES SOCIALES:SCIENCES POLITIQUES
Mots-clés :	OTAN (ORGANISATION DU TRAITÉ DE L'ATLANTIQUE NORD) : 1949-, ORGANISATION INTERNATIONALE, SÉCURITÉ COLLECTIVE, PARTAGE DES CHARGES, POST-POSITIVISME
Index. décimale :	300 Sciences sociales
Résumé :	Depuis la naissance de l'Organisation du Traité de l'Atlantique Nord, les Européens et les Américains sont en désaccord sur la question de savoir qui doit partager quelle part du fardeau de la sécurité collective. L'aspect input du partage de la charge de l'alliance - c'est-à-dire le nombre de troupes qu'un État membre apporte à l'alliance - a été la variable privilégiée, tant au niveau politique qu'au niveau académique. D'autres variables de sortie (par exemple, le nombre de soldats déployés dans une mission particulière) sont très contestées. Cet article propose un cadre analytique éclectique pour l'étude du partage du fardeau atlantique qui permet de combiner les variables d'entrée et de sortie du débat sur le partage des charges de l'alliance avec celles qui le considèrent comme une pratique sociale.
Note de contenu :	Since the birth of the North Atlantic Treaty Organization, the Europeans and the Americans have disagreed about who should share how much of the collective security burden. The input side of alliance burden sharing – that is, how many troops a member state contributes to the alliance – has been the privileged variable, both at the political as well as the academic levels. Other output variables (e.g. numbers of troops deployed to a particular mission) are highly contested. This article offers an analytically eclecticist framework for studying Atlantic burden sharing that allows combining variables on the input and output sides of the alliance burden sharing debate with those that consider it a social practice.
Numéro du document :	4
Bull1 (Theme principale) :	SCIENCES SOCIALES
Bull2 (Theme secondaire) :	POLITIQUE INTÉRIEURE
En ligne :	https://journals.sagepub.com/doi/full/10.1177/0192512119863132

[article] Eclecticism and the future of the burden-sharing research programme: Why Trump is wrong = L'éclectisme et l'avenir du programme de recherche sur le partage des charges : Pourquoi Trump a tort [texte imprimé] / Benjamin Zyla, Auteur . - 2020 . - p. 507-521.
Langues : Anglais (eng) Langues originales : Anglais (eng)
in Revue Internationale de Sciences Politiques > Vol.41 N°04 (Sep 2020) . - p. 507-521

Catégories :	SCIENCES SOCIALES:SCIENCES POLITIQUES
Mots-clés :	OTAN (ORGANISATION DU TRAITÉ DE L'ATLANTIQUE NORD) : 1949-, ORGANISATION INTERNATIONALE, SÉCURITÉ COLLECTIVE, PARTAGE DES CHARGES, POST-POSITIVISME
Index. décimale :	300 Sciences sociales
Résumé :	Depuis la naissance de l'Organisation du Traité de l'Atlantique Nord, les Européens et les Américains sont en désaccord sur la question de savoir qui doit partager quelle part du fardeau de la sécurité collective. L'aspect input du partage de la charge de l'alliance - c'est-à-dire le nombre de troupes qu'un État membre apporte à l'alliance - a été la variable privilégiée, tant au niveau politique qu'au niveau académique. D'autres variables de sortie (par exemple, le nombre de soldats déployés dans une mission particulière) sont très contestées. Cet article propose un cadre analytique éclectique pour l'étude du partage du fardeau atlantique qui permet de combiner les variables d'entrée et de sortie du débat sur le partage des charges de l'alliance avec celles qui le considèrent comme une pratique sociale.
Note de contenu :	Since the birth of the North Atlantic Treaty Organization, the Europeans and the Americans have disagreed about who should share how much of the collective security burden. The input side of alliance burden sharing – that is, how many troops a member state contributes to the alliance – has been the privileged variable, both at the political as well as the academic levels. Other output variables (e.g. numbers of troops deployed to a particular mission) are highly contested. This article offers an analytically eclecticist framework for studying Atlantic burden sharing that allows combining variables on the input and output sides of the alliance burden sharing debate with those that consider it a social practice.
Numéro du document :	4
Bull1 (Theme principale) :	SCIENCES SOCIALES
Bull2 (Theme secondaire) :	POLITIQUE INTÉRIEURE
En ligne :	https://journals.sagepub.com/doi/full/10.1177/0192512119863132