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Auteur B. Seret |
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Titre : Biological diversity in pond fish culture Autre titre : Diversité biologique en pisciculture d'étang Type de document : texte imprimé Auteurs : Roland Billard ; B. Seret ; J.Y. Sire Editeur : Société Française d'Ichtyologie Année de publication : 1999 Importance : p. 471-479 Format : 24 cm Catégories : SCIENCES DE LA VIE Mots-clés : BIODIVERSITE ESPECE INFEODEE CYPRINUS AQUACULTURE POLYCULTURE (AQUACULTURE) Résumé : L'aquaculture fait appel à un grand nombre d'espèces de poissons et à leur diversité biologique. Sur un total de 25000 espèces plus de 150 font l'objet d'élevage au moins durant une partie de leur cycle vital, mais moins d'une dizaine d'espèces, surtout cyprinidés et salmonidés assurent 90 pour cent de la production aquacole mondiale. Des essais d'élevage de nouvelles espèces sont pratiqués pour compenser la surexploitation par pêche (morue, thons, poissons d'ornement) et pour la conservation d'espèces. Il est en réalité fait appel dans de nombreux cas à la diversité physiologique des poissons. Par exemple, l'utilisation dans des étangs, de poissons piscivores (police fish) pour éliminer de jeunes poissons introduits accidentellement ou résultant d'une reproduction non contrôlée- Un exemple de l'utilisation de la diversité physiologique des poissons est aussi illustré par la polyculture telle qu'elle est pratiquée en Chine où sont associées dans un même étang, plusieurs espèces inféodées à différents niveaux du réseau trophique - la carpe argentée s'alimentant de phytoplanctons, la carpe herbivore de macrophytes, la carpe à grosse tête et la carpe commune de zoobenthos et de macrozooplancton. Des associations d'espèces sont aussi pratiquées en Inde avec les major Indian carps et la culture composite. Ces systèmes reçoivent une forte fertilisation organique et présentent des productivités élevées 3 t/ha/an par exemple en Chine). Dans tous les cas, la production bénéficie de la diversité microbienne et planctonique. Il y a d'autre part des diversifications d'espèces combinées à des diversification d'habitat et d'environnement (acadjas, rizipisciculture). (Résumé d'auteur).
Numéro du document : 04B Niveau Bibliographique : 2 Indicateur Bibliographique : K Bull1 (Theme principale) : BIOLOGIE AQUATIQUE Biological diversity in pond fish culture ; Diversité biologique en pisciculture d'étang [texte imprimé] / Roland Billard ; B. Seret ; J.Y. Sire . - Société Française d'Ichtyologie, 1999 . - p. 471-479 ; 24 cm.
Catégories : SCIENCES DE LA VIE Mots-clés : BIODIVERSITE ESPECE INFEODEE CYPRINUS AQUACULTURE POLYCULTURE (AQUACULTURE) Résumé : L'aquaculture fait appel à un grand nombre d'espèces de poissons et à leur diversité biologique. Sur un total de 25000 espèces plus de 150 font l'objet d'élevage au moins durant une partie de leur cycle vital, mais moins d'une dizaine d'espèces, surtout cyprinidés et salmonidés assurent 90 pour cent de la production aquacole mondiale. Des essais d'élevage de nouvelles espèces sont pratiqués pour compenser la surexploitation par pêche (morue, thons, poissons d'ornement) et pour la conservation d'espèces. Il est en réalité fait appel dans de nombreux cas à la diversité physiologique des poissons. Par exemple, l'utilisation dans des étangs, de poissons piscivores (police fish) pour éliminer de jeunes poissons introduits accidentellement ou résultant d'une reproduction non contrôlée- Un exemple de l'utilisation de la diversité physiologique des poissons est aussi illustré par la polyculture telle qu'elle est pratiquée en Chine où sont associées dans un même étang, plusieurs espèces inféodées à différents niveaux du réseau trophique - la carpe argentée s'alimentant de phytoplanctons, la carpe herbivore de macrophytes, la carpe à grosse tête et la carpe commune de zoobenthos et de macrozooplancton. Des associations d'espèces sont aussi pratiquées en Inde avec les major Indian carps et la culture composite. Ces systèmes reçoivent une forte fertilisation organique et présentent des productivités élevées 3 t/ha/an par exemple en Chine). Dans tous les cas, la production bénéficie de la diversité microbienne et planctonique. Il y a d'autre part des diversifications d'espèces combinées à des diversification d'habitat et d'environnement (acadjas, rizipisciculture). (Résumé d'auteur).
Numéro du document : 04B Niveau Bibliographique : 2 Indicateur Bibliographique : K Bull1 (Theme principale) : BIOLOGIE AQUATIQUE Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité Origine 37727 A 7382%Z00 210 Livre CIDST Bibliotheque DDI Exclu du prêt By-catch in the deep-sea longline fishery of dissostichus eleginoides (Nototheniidae) from the Indian sector of the Southern Ocean / Guy Duhamel
Titre : By-catch in the deep-sea longline fishery of dissostichus eleginoides (Nototheniidae) from the Indian sector of the Southern Ocean Type de document : texte imprimé Auteurs : Guy Duhamel, ; Jérôme Maison ; Patrice Pruvost ; B. Seret ; J.Y. Sire Editeur : Société Française d'Ichtyologie Année de publication : 1999 Importance : p. 451-458 Format : 24 cm Catégories : SCIENCES DE LA VIE Mots-clés : NOTOTHENIIDAE DISSOSTICHUS ELEGINOIDES MACROURIDAE RAJIDAE MORIDAE PECHERIE PALANGRIERE ENVIRONNEMENT PROFONDE CAPTURE ANIMALE REGION MARINE Résumé : La pêcherie à la palangre de fond dirigée sur Dissostichus eleginoides est actuellement en expansion partout dans les secteurs indien et pacifique de la partie subantarctique de l'Océan Austral. Des captures accessoires sont notées pour cette pêcherie mais les déclarations de débarquements de ces dernières sont rares car ces poissons sont souvent rejetés à la mer. Au cours de deux campagnes exploratoires franco-japonaises de pêche profonde à la palangre, menées au large des îles Kerguelen et capturés et près de 13 pour cent du poids. Le grenadier Macrourus carinatus (Macrouridae) est l'espèce la plus commune et il concurrence l'espèce cible sur un intervalle de profondeur limité. Les Rajidae (Raja taaf pour Crozet et Bathyraja spp. pour Kergelen) ainsi que les Moridae (Antimora rostrata) constituent des prises secondaires. L'abscence de déclaration de ces captures entraine une situation préjudiciable pour les études d'évaluation de stocks par perte de l'information et compromet l'évaluation de l'impact de ce mode de pêche sur l'environnement profond. Enfin, certains de ces captures accessoires pourraient s'écouler sur les marchés avec succès Numéro du document : 04B Niveau Bibliographique : 2 Indicateur Bibliographique : K Bull1 (Theme principale) : BIOLOGIE AQUATIQUE By-catch in the deep-sea longline fishery of dissostichus eleginoides (Nototheniidae) from the Indian sector of the Southern Ocean [texte imprimé] / Guy Duhamel, ; Jérôme Maison ; Patrice Pruvost ; B. Seret ; J.Y. Sire . - Société Française d'Ichtyologie, 1999 . - p. 451-458 ; 24 cm.
Catégories : SCIENCES DE LA VIE Mots-clés : NOTOTHENIIDAE DISSOSTICHUS ELEGINOIDES MACROURIDAE RAJIDAE MORIDAE PECHERIE PALANGRIERE ENVIRONNEMENT PROFONDE CAPTURE ANIMALE REGION MARINE Résumé : La pêcherie à la palangre de fond dirigée sur Dissostichus eleginoides est actuellement en expansion partout dans les secteurs indien et pacifique de la partie subantarctique de l'Océan Austral. Des captures accessoires sont notées pour cette pêcherie mais les déclarations de débarquements de ces dernières sont rares car ces poissons sont souvent rejetés à la mer. Au cours de deux campagnes exploratoires franco-japonaises de pêche profonde à la palangre, menées au large des îles Kerguelen et capturés et près de 13 pour cent du poids. Le grenadier Macrourus carinatus (Macrouridae) est l'espèce la plus commune et il concurrence l'espèce cible sur un intervalle de profondeur limité. Les Rajidae (Raja taaf pour Crozet et Bathyraja spp. pour Kergelen) ainsi que les Moridae (Antimora rostrata) constituent des prises secondaires. L'abscence de déclaration de ces captures entraine une situation préjudiciable pour les études d'évaluation de stocks par perte de l'information et compromet l'évaluation de l'impact de ce mode de pêche sur l'environnement profond. Enfin, certains de ces captures accessoires pourraient s'écouler sur les marchés avec succès Numéro du document : 04B Niveau Bibliographique : 2 Indicateur Bibliographique : K Bull1 (Theme principale) : BIOLOGIE AQUATIQUE Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité Origine 37729 A 7382%Z00 210 Livre CIDST Bibliotheque DDI Exclu du prêt
Titre : Fundamental zonation in elasmobranch oviducal glands Autre titre : Zonation fondamentale des glandes nidamentaires chez les élasmobranches Type de document : texte imprimé Auteurs : William C. Hamlett, ; Matthew K Hysell ; Matthew Jezior ; B. Seret ; J.Y. Sire Editeur : Société Française d'Ichtyologie Année de publication : 1999 Importance : p. 271-280 Format : 24 cm Catégories : SCIENCES DE LA VIE Mots-clés : BOUGIE POISSON CARTILAGINEUX OVIDUCTE COQUILLE ENVELOPPE DE L'OEUF Résumé : Les glandes de l'oviducte (OG) des élasmobranches aussi nommées glandes nidamentaires sont des organes spécialisés ayant plusieurs fonctions : 1) la lubrification pour faciliter la transmission de l'oeuf 2) la production du battement ciliaire qui aide au mouvement de l'oeuf, 3) la production d'un revêtement gélatineux autour de l'oeuf, 4) la production des enveloppes de l'oeuf (chez quelques espèces et 5) servir de receptacle pour le sperme. Jusqu'à présent, la terminologie utilisée pour les OG se référait aux fonctions, comme par exemple, l'albumen, les zones à mucus et la capsule ovigère. Dans ce cas du revêtement gélatineux, le terme d'albumen n'est pas adapté puisque la composition de cette gélatine reste inconnue. Le terme de zone à mucus relève de la même incertitude. Lors de nos études sur des élasmobranches dont les modes de reproduction sont variés, nous avons remarqué une constance dans l'organisation structurale. Pour pouvoir comparer les différentes espèces, nous avons établi une terminologie structurale.- Pour pouvoir comparer les différentes espèces, nous avons établi une terminologie fondée sur l'apparence de l'épithélium en coupe longitudinale. Les OG ont une zonation similaire : 1) une zone club, 2) une zone papillaire, 3) une zone baffle (zone de recouvrement et 4) une zone terminale. Toutes les espèces étudiées jusqu'à présent ont une organisation fondamentalement similaire sauf Urolophus jamaicensis qui ne produit autour de l'oeuf qu'un revêtement gélatineux et des couches de lubrification. Chez les espèces ovipares comme Raja eglanteria, une enveloppe solide et permanente est produite et déposée à l'extérieur. Chez les espèces placentaires comme Mustelus canis, une enveloppe souple est formée, maintenu pendant toute la gestation et incorporée dans la placenta. Urolophus jamaicensis qui est aplacentaire avec formation de trophonemata (villosités utérines) est inhabituel car il ne forme aucune sorte de recouvrement de l'oeuf mis à part le mucus et la gélatine, et ne possède pas de zone de baffle- celle-ci comporte une matrice complexe d'extrusions turgescentes qui forment des structures lamellaires comlexes avec les sécretions cristallines liquides produites par des tubules glandulaires situés dans une région réticulée de la zone baffle. Les unités sécrétrices émettent leurs produits dans des rainures transversales qui s'étendent sur toute la largeur de la glande. Les unités adjacentes forment les couches suivantes de l'enveloppe. Les différences spécifiques de l'architecture des OG sont données (Résumé d'auteur) Numéro du document : 04B Niveau Bibliographique : 2 Indicateur Bibliographique : K Bull1 (Theme principale) : PHYSIOLOGIE ANIMALE Fundamental zonation in elasmobranch oviducal glands ; Zonation fondamentale des glandes nidamentaires chez les élasmobranches [texte imprimé] / William C. Hamlett, ; Matthew K Hysell ; Matthew Jezior ; B. Seret ; J.Y. Sire . - Société Française d'Ichtyologie, 1999 . - p. 271-280 ; 24 cm.
Catégories : SCIENCES DE LA VIE Mots-clés : BOUGIE POISSON CARTILAGINEUX OVIDUCTE COQUILLE ENVELOPPE DE L'OEUF Résumé : Les glandes de l'oviducte (OG) des élasmobranches aussi nommées glandes nidamentaires sont des organes spécialisés ayant plusieurs fonctions : 1) la lubrification pour faciliter la transmission de l'oeuf 2) la production du battement ciliaire qui aide au mouvement de l'oeuf, 3) la production d'un revêtement gélatineux autour de l'oeuf, 4) la production des enveloppes de l'oeuf (chez quelques espèces et 5) servir de receptacle pour le sperme. Jusqu'à présent, la terminologie utilisée pour les OG se référait aux fonctions, comme par exemple, l'albumen, les zones à mucus et la capsule ovigère. Dans ce cas du revêtement gélatineux, le terme d'albumen n'est pas adapté puisque la composition de cette gélatine reste inconnue. Le terme de zone à mucus relève de la même incertitude. Lors de nos études sur des élasmobranches dont les modes de reproduction sont variés, nous avons remarqué une constance dans l'organisation structurale. Pour pouvoir comparer les différentes espèces, nous avons établi une terminologie structurale.- Pour pouvoir comparer les différentes espèces, nous avons établi une terminologie fondée sur l'apparence de l'épithélium en coupe longitudinale. Les OG ont une zonation similaire : 1) une zone club, 2) une zone papillaire, 3) une zone baffle (zone de recouvrement et 4) une zone terminale. Toutes les espèces étudiées jusqu'à présent ont une organisation fondamentalement similaire sauf Urolophus jamaicensis qui ne produit autour de l'oeuf qu'un revêtement gélatineux et des couches de lubrification. Chez les espèces ovipares comme Raja eglanteria, une enveloppe solide et permanente est produite et déposée à l'extérieur. Chez les espèces placentaires comme Mustelus canis, une enveloppe souple est formée, maintenu pendant toute la gestation et incorporée dans la placenta. Urolophus jamaicensis qui est aplacentaire avec formation de trophonemata (villosités utérines) est inhabituel car il ne forme aucune sorte de recouvrement de l'oeuf mis à part le mucus et la gélatine, et ne possède pas de zone de baffle- celle-ci comporte une matrice complexe d'extrusions turgescentes qui forment des structures lamellaires comlexes avec les sécretions cristallines liquides produites par des tubules glandulaires situés dans une région réticulée de la zone baffle. Les unités sécrétrices émettent leurs produits dans des rainures transversales qui s'étendent sur toute la largeur de la glande. Les unités adjacentes forment les couches suivantes de l'enveloppe. Les différences spécifiques de l'architecture des OG sont données (Résumé d'auteur) Numéro du document : 04B Niveau Bibliographique : 2 Indicateur Bibliographique : K Bull1 (Theme principale) : PHYSIOLOGIE ANIMALE Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité Origine 37710 A 7382%Z00 210 Livre CIDST Bibliotheque DDI Exclu du prêt Sperm aggregation and spermatozeugmata formation in the male genital ducts in the clearnose skate raja eglanteria / William C. Hamlett
Titre : Sperm aggregation and spermatozeugmata formation in the male genital ducts in the clearnose skate raja eglanteria Titre original : Agrégation du sperme et formation de spermatozeugmes dans les conduits génitaux mâles de la raie à nez blanc Raja eglanteria Type de document : texte imprimé Auteurs : William C. Hamlett, ; Matthew K Hysell ; Todd Rozycki ; B. Seret ; J.Y Sire Editeur : Société Française d'Ichtyologie Année de publication : 1999 Importance : p. 281-291 Format : 24 cm Note générale : PHYSIOLOGIE ANIMALE Catégories : SCIENCES DE LA VIE Mots-clés : RAJIDAE RAJA EGLANTERIA AGREGATION CANAL DEFERENT SPERMATOZEUGMES SPERMATOZOIDE VESICULE SEMINALE TESTICULE Résumé : La spermatogenèse des élasmobranches aboutit à un spermatocyste composé d'une cellule de Sertoli ou d'une cohorte de spermatozoïdes accumulés latéralement et regroupés au niveau apical de la cellule de Sertoli. Lorsque cet ensemble atteint le premier segment du système tubulaire extratesticulaire, l'épididyme proximal, le sperme s'est désagrégé. Les spermatozoïdes sont indépendants et baignent dans une suspension constituée : 1) de vésicules bordées d'une membrane provenant des cellules de Sertoli (organites des cellules de Sertoli), 2) du contenu cytoplasmique des cellules de Sertoli (autre que les organites), 3) de grandes glandes de Leydig et 4) de sécrétions et/ou de fragments des cellules épithéliales des conduits génitaux. Le système tubulaire extratesticulaire du mâle de Raja eglanteria se compose de structures paires : 1) les épididymes, 2) les canaux déférents, 3) les vésicules séminales.- Leurs rôles sont : 1) le transport des spermatozoïdes, 2) la contribution à former le liquide séminal et 3) l'accomplissement de l'agrégation du sperme. Les épididymes et le canal déférent reçoivent les sécrétions des glandes de Leydig. Ces sécrétions sont considérées comme la composante majoritaire liquide séminale. Les cellules épithéales de l'épididyme ssont ciliés. Au niveau proximal, le contenu de la lumière de l'épididyme consiste en de larges agrégations de spermatozoïdes, agglutinés latéralement par la tête par groupes de 2 à 12 dans une masse extracellulaire homogène. Des replis épithéliaux se projettent dans la lumière du conduit. La taille de ces replis décroît dans le canal déférent. L'épithélium du canal déférent est simple et colummaire. Les sécrétions de Léydig, à ce niveau, proviennent de petites vésicules sécrétions. La lumière de la vésicule séminale est massive par rapport à celle de l'épididyme et du canal déférent. Les parois de la vésicule séminale consistent en un épithélium qui présente des invaginations de cellules ciliées simples dans la lumière et de muscle lisse. Il est possible que les sécrétions de l'épithélium de la vésicule séminale contribuent à la matrice entourant les spermatozoïdes lesquels sont présents en tant que simples spermatozeugmes (Résumé d'auteur) Numéro du document : 04B Niveau Bibliographique : 2 Indicateur Bibliographique : K Bull1 (Theme principale) : PHYSIOLOGIE ANIMALE Sperm aggregation and spermatozeugmata formation in the male genital ducts in the clearnose skate raja eglanteria = Agrégation du sperme et formation de spermatozeugmes dans les conduits génitaux mâles de la raie à nez blanc Raja eglanteria [texte imprimé] / William C. Hamlett, ; Matthew K Hysell ; Todd Rozycki ; B. Seret ; J.Y Sire . - Société Française d'Ichtyologie, 1999 . - p. 281-291 ; 24 cm.
PHYSIOLOGIE ANIMALE
Catégories : SCIENCES DE LA VIE Mots-clés : RAJIDAE RAJA EGLANTERIA AGREGATION CANAL DEFERENT SPERMATOZEUGMES SPERMATOZOIDE VESICULE SEMINALE TESTICULE Résumé : La spermatogenèse des élasmobranches aboutit à un spermatocyste composé d'une cellule de Sertoli ou d'une cohorte de spermatozoïdes accumulés latéralement et regroupés au niveau apical de la cellule de Sertoli. Lorsque cet ensemble atteint le premier segment du système tubulaire extratesticulaire, l'épididyme proximal, le sperme s'est désagrégé. Les spermatozoïdes sont indépendants et baignent dans une suspension constituée : 1) de vésicules bordées d'une membrane provenant des cellules de Sertoli (organites des cellules de Sertoli), 2) du contenu cytoplasmique des cellules de Sertoli (autre que les organites), 3) de grandes glandes de Leydig et 4) de sécrétions et/ou de fragments des cellules épithéliales des conduits génitaux. Le système tubulaire extratesticulaire du mâle de Raja eglanteria se compose de structures paires : 1) les épididymes, 2) les canaux déférents, 3) les vésicules séminales.- Leurs rôles sont : 1) le transport des spermatozoïdes, 2) la contribution à former le liquide séminal et 3) l'accomplissement de l'agrégation du sperme. Les épididymes et le canal déférent reçoivent les sécrétions des glandes de Leydig. Ces sécrétions sont considérées comme la composante majoritaire liquide séminale. Les cellules épithéales de l'épididyme ssont ciliés. Au niveau proximal, le contenu de la lumière de l'épididyme consiste en de larges agrégations de spermatozoïdes, agglutinés latéralement par la tête par groupes de 2 à 12 dans une masse extracellulaire homogène. Des replis épithéliaux se projettent dans la lumière du conduit. La taille de ces replis décroît dans le canal déférent. L'épithélium du canal déférent est simple et colummaire. Les sécrétions de Léydig, à ce niveau, proviennent de petites vésicules sécrétions. La lumière de la vésicule séminale est massive par rapport à celle de l'épididyme et du canal déférent. Les parois de la vésicule séminale consistent en un épithélium qui présente des invaginations de cellules ciliées simples dans la lumière et de muscle lisse. Il est possible que les sécrétions de l'épithélium de la vésicule séminale contribuent à la matrice entourant les spermatozoïdes lesquels sont présents en tant que simples spermatozeugmes (Résumé d'auteur) Numéro du document : 04B Niveau Bibliographique : 2 Indicateur Bibliographique : K Bull1 (Theme principale) : PHYSIOLOGIE ANIMALE Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité Origine 37711 A 7382%Z00 210 Livre CIDST Bibliotheque DDI Exclu du prêt