Titre :	Potentiel matriciel de l’eau dans le sol et tension superficielle de l’eau
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	M. Hallaire, Auteur ; Ch. Baldy, Auteur
Année de publication :	1964
Importance :	p 15-62
Langues :	Français (fre)
Catégories :	SCIENCES AGRICOLES
Mots-clés :	EAU  TENSION SUPERFICIELLE  POTENTIEL MATRICIEL
Résumé :	L’objet de cet article est de vérifier la conformité d’une nouvelle représentation où la capillarité n’intervient plus seule et où l’on envisage l’action du solide sur l’eau pelliculaire. Les résultats expérimentaux montrent que l’allure des phénomènes correspond aux images théoriques proposées et que la tension superficielle joue bien le rôle particulier qui lui est attribué. Cela ne justifie pas les théories proposées qui ne tiennent pas compte explicitement des cations échangeables; mais celles-ci constituent une approximation correcte qui ouvre la possibilité dans des études ultérieures , d’introduire comme complètement les facteurs qui n’ont pas été considérés en détail.
Numéro du document :	A 10512/P00
Niveau Bibliographique :	2
Bull1 (Theme principale) :	RESSOURCES NATURELLES ET ENVIRONNEMENT
Bull2 (Theme secondaire) :	RESSOURCES EN EAU ET LEUR GESTION

Potentiel matriciel de l’eau dans le sol et tension superficielle de l’eau [texte imprimé] / M. Hallaire, Auteur ; Ch. Baldy, Auteur . - 1964 . - p 15-62.
Langues : Français (fre)

Catégories :	SCIENCES AGRICOLES
Mots-clés :	EAU  TENSION SUPERFICIELLE  POTENTIEL MATRICIEL
Résumé :	L’objet de cet article est de vérifier la conformité d’une nouvelle représentation où la capillarité n’intervient plus seule et où l’on envisage l’action du solide sur l’eau pelliculaire. Les résultats expérimentaux montrent que l’allure des phénomènes correspond aux images théoriques proposées et que la tension superficielle joue bien le rôle particulier qui lui est attribué. Cela ne justifie pas les théories proposées qui ne tiennent pas compte explicitement des cations échangeables; mais celles-ci constituent une approximation correcte qui ouvre la possibilité dans des études ultérieures , d’introduire comme complètement les facteurs qui n’ont pas été considérés en détail.
Numéro du document :	A 10512/P00
Niveau Bibliographique :	2
Bull1 (Theme principale) :	RESSOURCES NATURELLES ET ENVIRONNEMENT
Bull2 (Theme secondaire) :	RESSOURCES EN EAU ET LEUR GESTION

Titre :	Transpiration végétale et production de matière sèche, essai d’interprétation en fonction des facteurs du milieu : étude physique de l’eau au niveau de la plante
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	S. de Parcevaux, Auteur
Année de publication :	1964
Importance :	p 63-83
Langues :	Français (fre)
Catégories :	SCIENCES AGRICOLES
Mots-clés :	TRANSPIRATION VEGETALE  PHYSIOLOGIE DES PLANTES  PRODUCTION DE MATIERE SECHE  ETUDE PHYSIQUE DE L’EAU  EVAPORATION
Résumé :	L’activité vitale des plantes supérieures exige une grande quantité d’eau. En fait, un très faible pourcentage de celle-ci est assimilé par l’intermédiaire des processus photosynthétiques. La teneur en eau totale d’une plante à un instant donné est faible si on la compare à la quantité d’eau qui passe à travers le végétal durant 24h; les feuilles même à l’ombre, peuvent remplacer la totalité de leur eau en moins d’une heure. L’eau absorbée par les plantes a donc trois rôles principaux : la plus grande partie sert à assurer la transpiration et à amener les éléments minéraux nécessaires à la vie de la plante ; une faible partie maintient l’hydratation des cellules et enfin une quantité relativement faible entre dans la composition de la matière sèche formée. On étudie les deux aspects correspondant aux consommations d’eau les plus importantes, c’est-à-dire l’état de l’eau dans les tissus et la dynamique de l’eau à travers la plante.
Numéro du document :	A 10512/P00
Niveau Bibliographique :	2
Bull1 (Theme principale) :	RESSOURCES NATURELLES ET ENVIRONNEMENT
Bull2 (Theme secondaire) :	RESSOURCES EN EAU ET LEUR GESTION

Transpiration végétale et production de matière sèche, essai d’interprétation en fonction des facteurs du milieu : étude physique de l’eau au niveau de la plante [texte imprimé] / S. de Parcevaux, Auteur . - 1964 . - p 63-83.
Langues : Français (fre)

Catégories :	SCIENCES AGRICOLES
Mots-clés :	TRANSPIRATION VEGETALE  PHYSIOLOGIE DES PLANTES  PRODUCTION DE MATIERE SECHE  ETUDE PHYSIQUE DE L’EAU  EVAPORATION
Résumé :	L’activité vitale des plantes supérieures exige une grande quantité d’eau. En fait, un très faible pourcentage de celle-ci est assimilé par l’intermédiaire des processus photosynthétiques. La teneur en eau totale d’une plante à un instant donné est faible si on la compare à la quantité d’eau qui passe à travers le végétal durant 24h; les feuilles même à l’ombre, peuvent remplacer la totalité de leur eau en moins d’une heure. L’eau absorbée par les plantes a donc trois rôles principaux : la plus grande partie sert à assurer la transpiration et à amener les éléments minéraux nécessaires à la vie de la plante ; une faible partie maintient l’hydratation des cellules et enfin une quantité relativement faible entre dans la composition de la matière sèche formée. On étudie les deux aspects correspondant aux consommations d’eau les plus importantes, c’est-à-dire l’état de l’eau dans les tissus et la dynamique de l’eau à travers la plante.
Numéro du document :	A 10512/P00
Niveau Bibliographique :	2
Bull1 (Theme principale) :	RESSOURCES NATURELLES ET ENVIRONNEMENT
Bull2 (Theme secondaire) :	RESSOURCES EN EAU ET LEUR GESTION

Titre :	L’évaporation
Type de document :	texte imprimé
Année de publication :	1964
Importance :	p 84-89
Langues :	Français (fre)
Catégories :	SCIENCES AGRICOLES
Mots-clés :	EVAPORATION  DEFICIT DE SATURATION  INFLUENCE DE LA TEMPERATURE  EAU
Résumé :	Dans ce chapitre, on ne prétend en aucune manière donner une vue exhaustive du problème de l’évaporation ; seules quelques notions indispensables à la bonne compréhension des chapitres suivants y sont présentées. En principe, le rayonnement d’origine solaire est le terme essentiel dont dépend l’évaporation, surtout si l’on place à une échelle assez vaste ; les autres facteurs climatiques n’en sont que des conséquences. En fait, dans le cas présent, à l’échelle du microclimat ponctuel, à cause de l’hétérogénéité du milieu et de l’inertie des phénomènes, la répartition de l’énergie apportée plus ou moins directement par le rayonnement ne peut plus être considérée comme uniforme dans l’espace, ce qui est statistiquement valable à grande échelle. Dès lors, à petite échelle, tout se passe comme si les différents facteurs du climat agissent d’une façon indépendante : l’étude séparée de chacun des facteurs d’action devient nécessaire.
Numéro du document :	A 10512/P00
Niveau Bibliographique :	2
Bull1 (Theme principale) :	RESSOURCES NATURELLES ET ENVIRONNEMENT
Bull2 (Theme secondaire) :	RESSOURCES EN EAU ET LEUR GESTION

L’évaporation [texte imprimé] . - 1964 . - p 84-89.
Langues : Français (fre)

Catégories :	SCIENCES AGRICOLES
Mots-clés :	EVAPORATION  DEFICIT DE SATURATION  INFLUENCE DE LA TEMPERATURE  EAU
Résumé :	Dans ce chapitre, on ne prétend en aucune manière donner une vue exhaustive du problème de l’évaporation ; seules quelques notions indispensables à la bonne compréhension des chapitres suivants y sont présentées. En principe, le rayonnement d’origine solaire est le terme essentiel dont dépend l’évaporation, surtout si l’on place à une échelle assez vaste ; les autres facteurs climatiques n’en sont que des conséquences. En fait, dans le cas présent, à l’échelle du microclimat ponctuel, à cause de l’hétérogénéité du milieu et de l’inertie des phénomènes, la répartition de l’énergie apportée plus ou moins directement par le rayonnement ne peut plus être considérée comme uniforme dans l’espace, ce qui est statistiquement valable à grande échelle. Dès lors, à petite échelle, tout se passe comme si les différents facteurs du climat agissent d’une façon indépendante : l’étude séparée de chacun des facteurs d’action devient nécessaire.
Numéro du document :	A 10512/P00
Niveau Bibliographique :	2
Bull1 (Theme principale) :	RESSOURCES NATURELLES ET ENVIRONNEMENT
Bull2 (Theme secondaire) :	RESSOURCES EN EAU ET LEUR GESTION

Titre :	La transpiration
Type de document :	texte imprimé
Année de publication :	1964
Importance :	p 90-109
Langues :	Français (fre)
Catégories :	SCIENCES AGRICOLES
Mots-clés :	TRANSPIRATION CUTICULAIRE TRANSPIRATION STOMATIQUE  MECANISME DE TRANSPIRATION  MESURE DE LA TRANSPIRATION
Résumé :	La transpiration traduit la réponse de la plante à la « demande » en eau exprimée par l’évaporation ou évapotranspiration potentielle ponctuelle. Elle ne diffère donc de cette dernière que par un terme £µ, celui-ci exprime l’influence de la physiologie des organes végétaux sur la transpiration. Ce point de vue concerne tous les processus de la régulation stomatique et cuticulaire ; le coefficient £µ varie d’une valeur minimale représentant la part de la transpiration cuticulaire, variable d’une espèce à une autre, jusqu’à une valeur voisine de l’unité lorsqu’aucun phénomène de régulation n’intervient.
Numéro du document :	A 10512/P00
Niveau Bibliographique :	2
Bull1 (Theme principale) :	RESSOURCES NATURELLES ET ENVIRONNEMENT
Bull2 (Theme secondaire) :	RESSOURCES EN EAU ET LEUR GESTION

La transpiration [texte imprimé] . - 1964 . - p 90-109.
Langues : Français (fre)

Catégories :	SCIENCES AGRICOLES
Mots-clés :	TRANSPIRATION CUTICULAIRE TRANSPIRATION STOMATIQUE  MECANISME DE TRANSPIRATION  MESURE DE LA TRANSPIRATION
Résumé :	La transpiration traduit la réponse de la plante à la « demande » en eau exprimée par l’évaporation ou évapotranspiration potentielle ponctuelle. Elle ne diffère donc de cette dernière que par un terme £µ, celui-ci exprime l’influence de la physiologie des organes végétaux sur la transpiration. Ce point de vue concerne tous les processus de la régulation stomatique et cuticulaire ; le coefficient £µ varie d’une valeur minimale représentant la part de la transpiration cuticulaire, variable d’une espèce à une autre, jusqu’à une valeur voisine de l’unité lorsqu’aucun phénomène de régulation n’intervient.
Numéro du document :	A 10512/P00
Niveau Bibliographique :	2
Bull1 (Theme principale) :	RESSOURCES NATURELLES ET ENVIRONNEMENT
Bull2 (Theme secondaire) :	RESSOURCES EN EAU ET LEUR GESTION

Titre :	Relation entre la transpiration et l’évaporation
Type de document :	texte imprimé
Année de publication :	1964
Importance :	p 110-120
Langues :	Français (fre)
Catégories :	SCIENCES AGRICOLES
Mots-clés :	MESURES DE TRANSPIRATION  EVAPORATION  TRANSPIRATION RELATIVE
Résumé :	Dans les conditions naturelles, les mesures de transpiration ne sont pas faciles à interpréter. Les végétaux sont soumis, même dans les climats les plus réguliers, à des variations continuelles du milieu ambiant auxquelles ils réagissent plus ou moins passivement. Ces multiples fluctuations sont fort gênantes pour exprimer les résultats des mesures d’une façon cohérente. Comme le suggèrent les formules (1) et (2), les facteurs climatiques agissent de la même manière sur la transpiration et l’évaporation ; il semble donc logique d’étudier comment varie la transpiration en fonction de l’évaporation.
Numéro du document :	A 10512/P00
Niveau Bibliographique :	2
Bull1 (Theme principale) :	RESSOURCES NATURELLES ET ENVIRONNEMENT
Bull2 (Theme secondaire) :	RESSOURCES EN EAU ET LEUR GESTION

Relation entre la transpiration et l’évaporation [texte imprimé] . - 1964 . - p 110-120.
Langues : Français (fre)

Catégories :	SCIENCES AGRICOLES
Mots-clés :	MESURES DE TRANSPIRATION  EVAPORATION  TRANSPIRATION RELATIVE
Résumé :	Dans les conditions naturelles, les mesures de transpiration ne sont pas faciles à interpréter. Les végétaux sont soumis, même dans les climats les plus réguliers, à des variations continuelles du milieu ambiant auxquelles ils réagissent plus ou moins passivement. Ces multiples fluctuations sont fort gênantes pour exprimer les résultats des mesures d’une façon cohérente. Comme le suggèrent les formules (1) et (2), les facteurs climatiques agissent de la même manière sur la transpiration et l’évaporation ; il semble donc logique d’étudier comment varie la transpiration en fonction de l’évaporation.
Numéro du document :	A 10512/P00
Niveau Bibliographique :	2
Bull1 (Theme principale) :	RESSOURCES NATURELLES ET ENVIRONNEMENT
Bull2 (Theme secondaire) :	RESSOURCES EN EAU ET LEUR GESTION

Titre :	Production de matière sèche, assimilation nette ou apparente
Type de document :	texte imprimé
Année de publication :	1964
Importance :	p 121-142
Langues :	Français (fre)
Catégories :	SCIENCES AGRICOLES
Mots-clés :	COMPLEXE CLIMATIQUE  PHOTOSYNTHESE APPARENTE  EFFICIENCE DE LA TRANSPIRATION  MATIERE SECHE
Résumé :	Avant d’aborder l’étude de l’action du facteur eau sur l’assimilation nette ou apparente, c’est-à-dire sur la production de matière sèche, il est nécessaire de replacer la plante dans son contexte climatique naturel. L’eau en effet n’est pas le seul facteur dont dépend l’assimilation chlorophyllienne. Les végétaux subissent toutes les variations du milieu dans lequel ils vivent. L’action de certains facteurs peut parfois être étudiée isolément, mais les interactions sont si complexes qu’il est illusoire dans la plupart des cas de considérer chaque facteur d’une façon indépendante. Compte tenu des phénomènes physiques (couche limite, bilan thermique), mis en évidence dans les chapitres précédents, il s’agit de voir comment la photosynthèse peut être appréciée d’une façon satisfaisante dans les conditions naturelles. Si dans un contexte climatique donné, il existe toujours un niveau optimal d’action pour chaque facteur dont dépend l’assimilation chlorophyllienne, il y a toujours un facteur, qui, à un instant donné, limite la photosynthèse ; mais il est souvent difficile à mettre en évidence. C’est pourquoi l’importance relative de chacun d’entre eux est mal connue.
Numéro du document :	A 10512/P00
Niveau Bibliographique :	2
Bull1 (Theme principale) :	RESSOURCES NATURELLES ET ENVIRONNEMENT
Bull2 (Theme secondaire) :	RESSOURCES EN EAU ET LEUR GESTION

Production de matière sèche, assimilation nette ou apparente [texte imprimé] . - 1964 . - p 121-142.
Langues : Français (fre)

Catégories :	SCIENCES AGRICOLES
Mots-clés :	COMPLEXE CLIMATIQUE  PHOTOSYNTHESE APPARENTE  EFFICIENCE DE LA TRANSPIRATION  MATIERE SECHE
Résumé :	Avant d’aborder l’étude de l’action du facteur eau sur l’assimilation nette ou apparente, c’est-à-dire sur la production de matière sèche, il est nécessaire de replacer la plante dans son contexte climatique naturel. L’eau en effet n’est pas le seul facteur dont dépend l’assimilation chlorophyllienne. Les végétaux subissent toutes les variations du milieu dans lequel ils vivent. L’action de certains facteurs peut parfois être étudiée isolément, mais les interactions sont si complexes qu’il est illusoire dans la plupart des cas de considérer chaque facteur d’une façon indépendante. Compte tenu des phénomènes physiques (couche limite, bilan thermique), mis en évidence dans les chapitres précédents, il s’agit de voir comment la photosynthèse peut être appréciée d’une façon satisfaisante dans les conditions naturelles. Si dans un contexte climatique donné, il existe toujours un niveau optimal d’action pour chaque facteur dont dépend l’assimilation chlorophyllienne, il y a toujours un facteur, qui, à un instant donné, limite la photosynthèse ; mais il est souvent difficile à mettre en évidence. C’est pourquoi l’importance relative de chacun d’entre eux est mal connue.
Numéro du document :	A 10512/P00
Niveau Bibliographique :	2
Bull1 (Theme principale) :	RESSOURCES NATURELLES ET ENVIRONNEMENT
Bull2 (Theme secondaire) :	RESSOURCES EN EAU ET LEUR GESTION

Titre :	Evapotranspiration réelle, évapotranspiration potentielle : facteurs climatiques
Type de document :	texte imprimé
Année de publication :	1964
Importance :	p 155-166
Langues :	Français (fre)
Catégories :	SCIENCES AGRICOLES
Mots-clés :	EVAPOTRANSPIRATION REELLE (ETR)  BILAN D’ENERGIE  EVAPOTRANSPIRATION POTENTIELLE (ETP)
Résumé :	L’évapotranspiration réelle (ETR) représente l’eau réellement perdue sous forme de vapeur par une région, l’évapotranspiration potentielle (ETP), est l’eau susceptible d’être perdue dans les mêmes conditions, quand elle est en abondance dans le sol. Ces deux données sont indispensables à l’hydrologue pour étudier la circulation de l’eau ou à l’agronome pour définir les besoins en eau des cultures et chercher à les satisfaire. On se propose de montrer, en utilisant la méthode du bilan d’énergie, les liaisons qui existent entre ETP et ETR et entre ces termes et les différents éléments du bilan énergétique (rayonnement global, rayonnement de grande longeur d’onde, etc.). Les relations simples établies permettent de mieux définir ETP ou ETR et de préciser comment ils varient respectivement quand on cherche à modifier le climat sur les zones plus ou moins vastes soit en irriguant soit en changeant la couverture du sol. Cette étude est précédée d’un rappel des échelles utilisées en météorologie. Cette notion d’échelles sert à présenter les hypothèses de départ pour l’étude du bilan. Les conclusions sur les modifications climatiques et la consommation d’eau sont reprises dans le quatrième chapitre pour l’étude de l’efficience de l’eau au point de vue production agricole.
Numéro du document :	A 10512/P00
Niveau Bibliographique :	2
Bull1 (Theme principale) :	RESSOURCES NATURELLES ET ENVIRONNEMENT
Bull2 (Theme secondaire) :	RESSOURCES EN EAU ET LEUR GESTION

Evapotranspiration réelle, évapotranspiration potentielle : facteurs climatiques [texte imprimé] . - 1964 . - p 155-166.
Langues : Français (fre)

Catégories :	SCIENCES AGRICOLES
Mots-clés :	EVAPOTRANSPIRATION REELLE (ETR)  BILAN D’ENERGIE  EVAPOTRANSPIRATION POTENTIELLE (ETP)
Résumé :	L’évapotranspiration réelle (ETR) représente l’eau réellement perdue sous forme de vapeur par une région, l’évapotranspiration potentielle (ETP), est l’eau susceptible d’être perdue dans les mêmes conditions, quand elle est en abondance dans le sol. Ces deux données sont indispensables à l’hydrologue pour étudier la circulation de l’eau ou à l’agronome pour définir les besoins en eau des cultures et chercher à les satisfaire. On se propose de montrer, en utilisant la méthode du bilan d’énergie, les liaisons qui existent entre ETP et ETR et entre ces termes et les différents éléments du bilan énergétique (rayonnement global, rayonnement de grande longeur d’onde, etc.). Les relations simples établies permettent de mieux définir ETP ou ETR et de préciser comment ils varient respectivement quand on cherche à modifier le climat sur les zones plus ou moins vastes soit en irriguant soit en changeant la couverture du sol. Cette étude est précédée d’un rappel des échelles utilisées en météorologie. Cette notion d’échelles sert à présenter les hypothèses de départ pour l’étude du bilan. Les conclusions sur les modifications climatiques et la consommation d’eau sont reprises dans le quatrième chapitre pour l’étude de l’efficience de l’eau au point de vue production agricole.
Numéro du document :	A 10512/P00
Niveau Bibliographique :	2
Bull1 (Theme principale) :	RESSOURCES NATURELLES ET ENVIRONNEMENT
Bull2 (Theme secondaire) :	RESSOURCES EN EAU ET LEUR GESTION

Titre :	Evapotranspiration potentielle et réelle au niveau de la feuille relations avec la photosynthèse
Type de document :	texte imprimé
Année de publication :	1964
Importance :	p 167-194
Langues :	Français (fre)
Catégories :	SCIENCES AGRICOLES
Mots-clés :	COUCHE LIMITE  EVAPOTRANSPIRATION POTENTIELLE (ETP)  PHOTOSYNTHESE  EVAPOTRANSPIRATION REELLE (ETR)  BILAN D’ENERGIE
Résumé :	Dans le premier chapitre, l’étude du bilan énergétique envisagé sur des surfaces présentant un caractère d’uniformité sur plusieurs dizaines d’hectares au minimum a conduit à définir les évapotranspirations potentielle (ETP) et réelle (ETR) presque uniquement en fonction des facteurs climatiques et surtout du rayonnement global. ETP résulte d’un équilibre entre l’eau évapotranspirée et l’énergie disponible à cet effet comme facteur limitant tandis que ETR correspond à un équilibre entre l’énergie consommée et l’eau jouant alors le rôle de facteur limitant ; la plante n’intervient plus que par son albédo dans le bilan d’énergie et les termes ETP ou ETR ont une signification climatique indépendante du type de couvert végétal. On se propose dans ce chapitre d’examiner ces notions d’ETP et d’ETR au niveau d’une feuille, celle-ci devant constituer en quelque sorte l’unité élémentaire pour établir des relations entre la circulation de l’eau et la production de matière sèche. L’étude à cette échelle est faite sous l’angle du milieu extérieur en utilisant pour la détermination de la transpiration la méthode du bilan d’énergie. On rappelle les lois physiques indispensables à la compréhension des phénomènes et on analyse le rôle des différents facteurs climatiques. Cette étude permet de juger l’intérêt des méthodes physiques d’évaluation de la transpiration des végétaux et d’indiquer les corrections à introduire ou les précautions à prendre. Enfin elle fait ressortir les conditions microclimatiques très particulières dans lesquelles s’effectuent les réactions biochimiques. On insiste sur le rôle essentiel dans ces phénomènes, de la régulation stomatique et cuticulaire, qui n’apparaît pas dans le chapitre précédent. Par l’intermédiaire de cette double régulation, il est possible de relier les phénomènes de transpiration à l’activité photosynthétique, c’est-à-dire au niveau de production quantitative de matière sèche et même, à la qualité de celle-ci. L’évapotranspiration potentielle instantanée apparaît comme un facteur limitant possible de la production de matière sèche. On dispose alors des éléments nécessaires pour envisager de faire une interprétation synthétique de ces phénomènes à l’échelle de la plante entière, puis dans le cadre agronomique d’un ensemble végétatif. Les conclusions tirées à petite échelle peuvent être utilisées dans le quatrième chapitre pour envisager les possibilités d’action en vue de modifier le climat et les microclimats dans un sens favorable à la production agricole, compte tenu des limites possibles définies dans le premier chapitre.
Numéro du document :	A 10512/P00
Niveau Bibliographique :	2
Bull1 (Theme principale) :	RESSOURCES NATURELLES ET ENVIRONNEMENT
Bull2 (Theme secondaire) :	RESSOURCES EN EAU ET LEUR GESTION

Evapotranspiration potentielle et réelle au niveau de la feuille relations avec la photosynthèse [texte imprimé] . - 1964 . - p 167-194.
Langues : Français (fre)

Catégories :	SCIENCES AGRICOLES
Mots-clés :	COUCHE LIMITE  EVAPOTRANSPIRATION POTENTIELLE (ETP)  PHOTOSYNTHESE  EVAPOTRANSPIRATION REELLE (ETR)  BILAN D’ENERGIE
Résumé :	Dans le premier chapitre, l’étude du bilan énergétique envisagé sur des surfaces présentant un caractère d’uniformité sur plusieurs dizaines d’hectares au minimum a conduit à définir les évapotranspirations potentielle (ETP) et réelle (ETR) presque uniquement en fonction des facteurs climatiques et surtout du rayonnement global. ETP résulte d’un équilibre entre l’eau évapotranspirée et l’énergie disponible à cet effet comme facteur limitant tandis que ETR correspond à un équilibre entre l’énergie consommée et l’eau jouant alors le rôle de facteur limitant ; la plante n’intervient plus que par son albédo dans le bilan d’énergie et les termes ETP ou ETR ont une signification climatique indépendante du type de couvert végétal. On se propose dans ce chapitre d’examiner ces notions d’ETP et d’ETR au niveau d’une feuille, celle-ci devant constituer en quelque sorte l’unité élémentaire pour établir des relations entre la circulation de l’eau et la production de matière sèche. L’étude à cette échelle est faite sous l’angle du milieu extérieur en utilisant pour la détermination de la transpiration la méthode du bilan d’énergie. On rappelle les lois physiques indispensables à la compréhension des phénomènes et on analyse le rôle des différents facteurs climatiques. Cette étude permet de juger l’intérêt des méthodes physiques d’évaluation de la transpiration des végétaux et d’indiquer les corrections à introduire ou les précautions à prendre. Enfin elle fait ressortir les conditions microclimatiques très particulières dans lesquelles s’effectuent les réactions biochimiques. On insiste sur le rôle essentiel dans ces phénomènes, de la régulation stomatique et cuticulaire, qui n’apparaît pas dans le chapitre précédent. Par l’intermédiaire de cette double régulation, il est possible de relier les phénomènes de transpiration à l’activité photosynthétique, c’est-à-dire au niveau de production quantitative de matière sèche et même, à la qualité de celle-ci. L’évapotranspiration potentielle instantanée apparaît comme un facteur limitant possible de la production de matière sèche. On dispose alors des éléments nécessaires pour envisager de faire une interprétation synthétique de ces phénomènes à l’échelle de la plante entière, puis dans le cadre agronomique d’un ensemble végétatif. Les conclusions tirées à petite échelle peuvent être utilisées dans le quatrième chapitre pour envisager les possibilités d’action en vue de modifier le climat et les microclimats dans un sens favorable à la production agricole, compte tenu des limites possibles définies dans le premier chapitre.
Numéro du document :	A 10512/P00
Niveau Bibliographique :	2
Bull1 (Theme principale) :	RESSOURCES NATURELLES ET ENVIRONNEMENT
Bull2 (Theme secondaire) :	RESSOURCES EN EAU ET LEUR GESTION

Titre :	Evapotranspiration potentielle et évaporation sous abri
Type de document :	texte imprimé
Année de publication :	1964
Importance :	p 195-206
Langues :	Français (fre)
Catégories :	SCIENCES AGRICOLES
Mots-clés :	EVAPOTRANSPIRATION  EVAPORATION  PRODUCTION DE MATIERE SECHE
Résumé :	L’étude faite dans le chapitre précédent au niveau de la feuille a montré le rôle essentiel joué par l’évapotranspiration potentielle ponctuelle et instantanée sur le niveau possible de production de matière sèche et sur l’efficience de l’eau consommée. Il est donc nécessaire, pour alimenter la plante en eau et rechercher les moyens d’améliorer son fonctionnement, de connaître le mieux possible les variations dans le temps ou dans l’espace de l’ETP. Bien que l’évapotranspiration potentielle puisse se définir de manière unique comme l’évapotranspiration maximale quand l’énergie est le seul facteur limitant, on a dû distinguer 2 cas : ETP apparaît comme dépendant des phénomènes de rayonnement et de l’indice d’évapotranspiration . Dans le second chapitre, à l’échelle fine, au niveau de la feuille, ETP ponctuelle et instantanée apparaît au contraire comme un facteur limitant l’élaboration de la matière sèche, même si la plante est bien alimentée en eau. On se propose de montrer comment, en partant de ces données sous abri et en utilisant la formule de PENMAN, il est possible d’obtenir ETP. La formule proposée est alors discutée en fonction des conditions instrumentales et en fonction du type de climat. On donne quelques résultats qui montrent combien ETP est susceptible de varier à l’échelle de l’exploitation et on tente d’indiquer le parti que l’on peut en tirer pour améliorer la production agricole.
Numéro du document :	A 10512/P00
Niveau Bibliographique :	2
Bull1 (Theme principale) :	RESSOURCES NATURELLES ET ENVIRONNEMENT
Bull2 (Theme secondaire) :	RESSOURCES EN EAU ET LEUR GESTION

Evapotranspiration potentielle et évaporation sous abri [texte imprimé] . - 1964 . - p 195-206.
Langues : Français (fre)

Catégories :	SCIENCES AGRICOLES
Mots-clés :	EVAPOTRANSPIRATION  EVAPORATION  PRODUCTION DE MATIERE SECHE
Résumé :	L’étude faite dans le chapitre précédent au niveau de la feuille a montré le rôle essentiel joué par l’évapotranspiration potentielle ponctuelle et instantanée sur le niveau possible de production de matière sèche et sur l’efficience de l’eau consommée. Il est donc nécessaire, pour alimenter la plante en eau et rechercher les moyens d’améliorer son fonctionnement, de connaître le mieux possible les variations dans le temps ou dans l’espace de l’ETP. Bien que l’évapotranspiration potentielle puisse se définir de manière unique comme l’évapotranspiration maximale quand l’énergie est le seul facteur limitant, on a dû distinguer 2 cas : ETP apparaît comme dépendant des phénomènes de rayonnement et de l’indice d’évapotranspiration . Dans le second chapitre, à l’échelle fine, au niveau de la feuille, ETP ponctuelle et instantanée apparaît au contraire comme un facteur limitant l’élaboration de la matière sèche, même si la plante est bien alimentée en eau. On se propose de montrer comment, en partant de ces données sous abri et en utilisant la formule de PENMAN, il est possible d’obtenir ETP. La formule proposée est alors discutée en fonction des conditions instrumentales et en fonction du type de climat. On donne quelques résultats qui montrent combien ETP est susceptible de varier à l’échelle de l’exploitation et on tente d’indiquer le parti que l’on peut en tirer pour améliorer la production agricole.
Numéro du document :	A 10512/P00
Niveau Bibliographique :	2
Bull1 (Theme principale) :	RESSOURCES NATURELLES ET ENVIRONNEMENT
Bull2 (Theme secondaire) :	RESSOURCES EN EAU ET LEUR GESTION

Titre :	Evapotranspiration réelle et production de matière sèche : amélioration de la production par l’abaissement de l’évapotranspiration potentielle
Type de document :	texte imprimé
Année de publication :	1964
Importance :	p 207-228
Langues :	Français (fre)
Catégories :	SCIENCES AGRICOLES
Mots-clés :	EVAPOTRANSPIRATION  PRODUCTION DE MATIERE SECHE  ABAISSEMENT DE L'EVAPOTRANSPIRATION  EFFICIENCE DE L'EAU
Résumé :	Dans ce chapitre, l'étude sur l'évapotranspiration se focalise sur les différents facteurs qui interviennent dans la dynamique de l'eau au niveau de la plante. L'auteur est amené à rappeler un certain nombre de définitions concernant l'ETP ou l'Evapotranspiration Potentielle à différentes échelles. Ce schéma permet d'interpréter un certain nombre de faits agronomiques et de dégager quelques possibilités d'action concernant l'amélioration de la productivité de l'eau consommée. Ensuite on propose un certain nombre de conclusions qui portent soit sur la "Méthodologie" en ce qui concerne l'étude du facteur "eau", soit sur le sens à donner aux modifications du climat au niveau des cultures, enfin on cherche à définir les limites de cette action sur l'efficience de l'eau, compte tenu des limites possibles d'action sur le milieu envisagé.
Numéro du document :	A 10512/P00
Niveau Bibliographique :	2
Bull1 (Theme principale) :	RESSOURCES NATURELLES ET ENVIRONNEMENT
Bull2 (Theme secondaire) :	RESSOURCES EN EAU ET LEUR GESTION

Evapotranspiration réelle et production de matière sèche : amélioration de la production par l’abaissement de l’évapotranspiration potentielle [texte imprimé] . - 1964 . - p 207-228.
Langues : Français (fre)

Catégories :	SCIENCES AGRICOLES
Mots-clés :	EVAPOTRANSPIRATION  PRODUCTION DE MATIERE SECHE  ABAISSEMENT DE L'EVAPOTRANSPIRATION  EFFICIENCE DE L'EAU
Résumé :	Dans ce chapitre, l'étude sur l'évapotranspiration se focalise sur les différents facteurs qui interviennent dans la dynamique de l'eau au niveau de la plante. L'auteur est amené à rappeler un certain nombre de définitions concernant l'ETP ou l'Evapotranspiration Potentielle à différentes échelles. Ce schéma permet d'interpréter un certain nombre de faits agronomiques et de dégager quelques possibilités d'action concernant l'amélioration de la productivité de l'eau consommée. Ensuite on propose un certain nombre de conclusions qui portent soit sur la "Méthodologie" en ce qui concerne l'étude du facteur "eau", soit sur le sens à donner aux modifications du climat au niveau des cultures, enfin on cherche à définir les limites de cette action sur l'efficience de l'eau, compte tenu des limites possibles d'action sur le milieu envisagé.
Numéro du document :	A 10512/P00
Niveau Bibliographique :	2
Bull1 (Theme principale) :	RESSOURCES NATURELLES ET ENVIRONNEMENT
Bull2 (Theme secondaire) :	RESSOURCES EN EAU ET LEUR GESTION

Titre :	Amélioration du rendement des végétaux par abaissement de l’évapotranspiration potentielle
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	R.J. Bouchet, Auteur ; S. de Parcevaux, Auteur ; J. Arnoux, Auteur
Année de publication :	1964
Importance :	p 233-240
Langues :	Français (fre)
Catégories :	SCIENCES AGRICOLES
Mots-clés :	ABAISSEMENT DE L’EVAPOTRANSPIRATION  EVAPOTRANSPIRATION POTENTIELLE  RENDEMENT DES VEGETAUX
Résumé :	L’élaboration de matière sèche par les végétaux dépend dans une certaine mesure de leur transpiration. De nombreux auteurs ont établi l’existence de relation entre la consommation d’eau et les rendements. Ces travaux montrent que le rendement optimal est obtenu lorsque les besoins en eau définis par l’évapotranspiration potentielle climatique sont satisfaits. Le rendement diminue lorsque l’évapotranspiration réelle (ETR) est inférieure à l’évapotranspiration potentielle (ETP).Le facteur « eau » intervient par l’intermédiaire du sol et il est admis qu’il n’est pas limitant de la production quand le sol est au voisinage de la capacité de rétention. L’irrigation, en augmentant les disponibilités en eau, améliore et régularise en effet la production. On se propose de montrer que l’utilisation des ressources en eau du sol, avec ou sans irrigation, ne constitue qu’un aspect du problème de l’alimentation en eau des plantes. Le but est de prouver que l’évapotranspiration potentielle est un facteur limitant de la production de matière sèche et qu’il est possible en la réduisant, d’améliorer les conditions de fonctionnement de la plante et de dégager , en matière de production agricole, de nouvelles potentialités.
Numéro du document :	A 10512/P00
Niveau Bibliographique :	2
Bull1 (Theme principale) :	RESSOURCES NATURELLES ET ENVIRONNEMENT
Bull2 (Theme secondaire) :	RESSOURCES EN EAU ET LEUR GESTION

Amélioration du rendement des végétaux par abaissement de l’évapotranspiration potentielle [texte imprimé] / R.J. Bouchet, Auteur ; S. de Parcevaux, Auteur ; J. Arnoux, Auteur . - 1964 . - p 233-240.
Langues : Français (fre)

Catégories :	SCIENCES AGRICOLES
Mots-clés :	ABAISSEMENT DE L’EVAPOTRANSPIRATION  EVAPOTRANSPIRATION POTENTIELLE  RENDEMENT DES VEGETAUX
Résumé :	L’élaboration de matière sèche par les végétaux dépend dans une certaine mesure de leur transpiration. De nombreux auteurs ont établi l’existence de relation entre la consommation d’eau et les rendements. Ces travaux montrent que le rendement optimal est obtenu lorsque les besoins en eau définis par l’évapotranspiration potentielle climatique sont satisfaits. Le rendement diminue lorsque l’évapotranspiration réelle (ETR) est inférieure à l’évapotranspiration potentielle (ETP).Le facteur « eau » intervient par l’intermédiaire du sol et il est admis qu’il n’est pas limitant de la production quand le sol est au voisinage de la capacité de rétention. L’irrigation, en augmentant les disponibilités en eau, améliore et régularise en effet la production. On se propose de montrer que l’utilisation des ressources en eau du sol, avec ou sans irrigation, ne constitue qu’un aspect du problème de l’alimentation en eau des plantes. Le but est de prouver que l’évapotranspiration potentielle est un facteur limitant de la production de matière sèche et qu’il est possible en la réduisant, d’améliorer les conditions de fonctionnement de la plante et de dégager , en matière de production agricole, de nouvelles potentialités.
Numéro du document :	A 10512/P00
Niveau Bibliographique :	2
Bull1 (Theme principale) :	RESSOURCES NATURELLES ET ENVIRONNEMENT
Bull2 (Theme secondaire) :	RESSOURCES EN EAU ET LEUR GESTION

Titre :	Les brise-vent : modification des microclimats et amélioration de la production agricole
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	G. Guyot, Auteur
Année de publication :	1964
Importance :	p 243-302
Langues :	Français (fre)
Catégories :	SCIENCES AGRICOLES
Mots-clés :	RENDEMENT AGRICOLE  PRODUCTION AGRICOLE  MICROCLIMATS  BRISE-VENT  FRANCE
Résumé :	Le problème des brise-vent intéresse les agriculteurs du 18ème siècle si bien que les idées de base qui ont présidé à l'établissement des premiers brise-vent ont évolué. On remarque que dans chaque pays, la manière de considérer les brise-vent est passée par deux stades: d'abord on ne s'attache qu'à leur rôle mécanique, puis à la suite d'observations sur des brise-vent établis, on s'aperçoit qu'ils exercent une influence sur tous les facteurs microclimatiques et par suite sur le comportement des végétaux. Ainsi, l'auteur a tenté de réunir l'ensemble des résultats cités dans la littérature sur les influences multiples et quelquefois contradictoires des brise-vent: influence sur le vent, et par corollaire, sur les microclimats, ensuite influence sur la conservation des sols, en définitive sur la production végétale. Dans la recherche d'une amélioration de la production agricole par des interventions sur le climat, l'auteur envisage les améliorations à apporter aux brise-vent déjà existants et pose le problème de leur installation dans des régions où l'intérêt de cette technique n'est pas évident.
Numéro du document :	A 10512/P00
Niveau Bibliographique :	2
Bull1 (Theme principale) :	RESSOURCES NATURELLES ET ENVIRONNEMENT
Bull2 (Theme secondaire) :	RESSOURCES EN EAU ET LEUR GESTION

Les brise-vent : modification des microclimats et amélioration de la production agricole [texte imprimé] / G. Guyot, Auteur . - 1964 . - p 243-302.
Langues : Français (fre)

Catégories :	SCIENCES AGRICOLES
Mots-clés :	RENDEMENT AGRICOLE  PRODUCTION AGRICOLE  MICROCLIMATS  BRISE-VENT  FRANCE
Résumé :	Le problème des brise-vent intéresse les agriculteurs du 18ème siècle si bien que les idées de base qui ont présidé à l'établissement des premiers brise-vent ont évolué. On remarque que dans chaque pays, la manière de considérer les brise-vent est passée par deux stades: d'abord on ne s'attache qu'à leur rôle mécanique, puis à la suite d'observations sur des brise-vent établis, on s'aperçoit qu'ils exercent une influence sur tous les facteurs microclimatiques et par suite sur le comportement des végétaux. Ainsi, l'auteur a tenté de réunir l'ensemble des résultats cités dans la littérature sur les influences multiples et quelquefois contradictoires des brise-vent: influence sur le vent, et par corollaire, sur les microclimats, ensuite influence sur la conservation des sols, en définitive sur la production végétale. Dans la recherche d'une amélioration de la production agricole par des interventions sur le climat, l'auteur envisage les améliorations à apporter aux brise-vent déjà existants et pose le problème de leur installation dans des régions où l'intérêt de cette technique n'est pas évident.
Numéro du document :	A 10512/P00
Niveau Bibliographique :	2
Bull1 (Theme principale) :	RESSOURCES NATURELLES ET ENVIRONNEMENT
Bull2 (Theme secondaire) :	RESSOURCES EN EAU ET LEUR GESTION

Titre :	Cultures associées et productivité de l’eau
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Ch. Baldy, Auteur
Année de publication :	1964
Importance :	p 303-342
Langues :	Français (fre)
Catégories :	SCIENCES AGRICOLES
Mots-clés :	PRODUCTIVITE DE L’EAU  CULTURES ASSOCIEES  ASSOCIATIONS OASIENNES DE VEGETATION  INTERACTION DES PLANTES
Résumé :	Dans l’optique d’une amélioration de la production de l’eau, on cherche le rôle que peuvent jouer les cultures associées. Après un essai de classification de celle-ci et une étude des facteurs climatiques, édaphiques et biologiques agissant sur elles, en insistant sur l’action de l’eau, sur les notions d’évapotranspiration potentielle et réelle et les liaisons entre celles-ci et la surface foliaire de l’ensemble cultural, on étudie des exemples pris dans la littérature et on que montre les hypothèses de départ semblent valables et en concluant que la productivité de l’eau peut être améliorée par l’association.
Numéro du document :	A 10512/P00
Niveau Bibliographique :	2
Bull1 (Theme principale) :	RESSOURCES NATURELLES ET ENVIRONNEMENT
Bull2 (Theme secondaire) :	RESSOURCES EN EAU ET LEUR GESTION

Cultures associées et productivité de l’eau [texte imprimé] / Ch. Baldy, Auteur . - 1964 . - p 303-342.
Langues : Français (fre)

Catégories :	SCIENCES AGRICOLES
Mots-clés :	PRODUCTIVITE DE L’EAU  CULTURES ASSOCIEES  ASSOCIATIONS OASIENNES DE VEGETATION  INTERACTION DES PLANTES
Résumé :	Dans l’optique d’une amélioration de la production de l’eau, on cherche le rôle que peuvent jouer les cultures associées. Après un essai de classification de celle-ci et une étude des facteurs climatiques, édaphiques et biologiques agissant sur elles, en insistant sur l’action de l’eau, sur les notions d’évapotranspiration potentielle et réelle et les liaisons entre celles-ci et la surface foliaire de l’ensemble cultural, on étudie des exemples pris dans la littérature et on que montre les hypothèses de départ semblent valables et en concluant que la productivité de l’eau peut être améliorée par l’association.
Numéro du document :	A 10512/P00
Niveau Bibliographique :	2
Bull1 (Theme principale) :	RESSOURCES NATURELLES ET ENVIRONNEMENT
Bull2 (Theme secondaire) :	RESSOURCES EN EAU ET LEUR GESTION

Titre :	Essai d’interprétation des mesures de pression de succion des feuilles
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Suzanne Mériaux, Auteur
Année de publication :	1964
Importance :	p 349-356
Langues :	Français (fre)
Catégories :	SCIENCES AGRICOLES
Mots-clés :	PRESSION DE SUCCION DES FEUILLES  EVAPOTRANSPIRATION
Résumé :	La pression de succion des feuilles est liée au potentiel de l’eau dans le sol et à l’évapotranspiration. Des mesures de pression de succion des feuilles de Dactyle, effectuées au cours de trois années illustrent cette relation en insistant sur l’importance de l’évapotranspiration. Dans les conditions locales de croissance de Dactyle, les stomates sont toujours presque fermés et l’irrigation ne conduit qu’à augmenter la durée de leur ouverture. Ces résultats montrent l’insuffisance d’action de l’irrigation et laissent supposer l’effet important que peuvent occasionner sur les rendements, les méthodes assurant la réduction de l’évapotranspiration potentielle.
Numéro du document :	A 10512/P00
Niveau Bibliographique :	2
Bull1 (Theme principale) :	RESSOURCES NATURELLES ET ENVIRONNEMENT
Bull2 (Theme secondaire) :	RESSOURCES EN EAU ET LEUR GESTION

Essai d’interprétation des mesures de pression de succion des feuilles [texte imprimé] / Suzanne Mériaux, Auteur . - 1964 . - p 349-356.
Langues : Français (fre)

Catégories :	SCIENCES AGRICOLES
Mots-clés :	PRESSION DE SUCCION DES FEUILLES  EVAPOTRANSPIRATION
Résumé :	La pression de succion des feuilles est liée au potentiel de l’eau dans le sol et à l’évapotranspiration. Des mesures de pression de succion des feuilles de Dactyle, effectuées au cours de trois années illustrent cette relation en insistant sur l’importance de l’évapotranspiration. Dans les conditions locales de croissance de Dactyle, les stomates sont toujours presque fermés et l’irrigation ne conduit qu’à augmenter la durée de leur ouverture. Ces résultats montrent l’insuffisance d’action de l’irrigation et laissent supposer l’effet important que peuvent occasionner sur les rendements, les méthodes assurant la réduction de l’évapotranspiration potentielle.
Numéro du document :	A 10512/P00
Niveau Bibliographique :	2
Bull1 (Theme principale) :	RESSOURCES NATURELLES ET ENVIRONNEMENT
Bull2 (Theme secondaire) :	RESSOURCES EN EAU ET LEUR GESTION

Titre :	Transpiration et maturation du blé dans le Languedoc méditerranéen
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	M. Godard, Auteur
Année de publication :	1964
Importance :	p 357-370
Langues :	Français (fre)
Catégories :	SCIENCES AGRICOLES
Mots-clés :	MEDITERRANEE  TRANSPIRATION VEGETALE  MATURATION DU BLE
Résumé :	La transpiration journalière du blé au cours de la maturation est étudiée en fonction des facteurs physiques du climat par la méthode des vases de végétation. Un taux de transpiration de la plante est défini et il permet de suivre l’évolution de l’activité transpiratoire liée aux processus de maturation affectant l’ensemble de la plante. L’influence des journées à conditions physiques excessives est précisée. La transpiration des épis est étudiée par une technique appropriée et l’activité transpiratoire de ces derniers passe par ses valeurs maximales au cours de la période où se produit le stade du « palier de l’eau » des grains. Pour un même complexe climatique, les pertes d’eau transpirée par les épis sont alors les plus élevées.
Numéro du document :	A 10512/P00
Niveau Bibliographique :	2
Bull1 (Theme principale) :	RESSOURCES NATURELLES ET ENVIRONNEMENT
Bull2 (Theme secondaire) :	RESSOURCES EN EAU ET LEUR GESTION

Transpiration et maturation du blé dans le Languedoc méditerranéen [texte imprimé] / M. Godard, Auteur . - 1964 . - p 357-370.
Langues : Français (fre)

Catégories :	SCIENCES AGRICOLES
Mots-clés :	MEDITERRANEE  TRANSPIRATION VEGETALE  MATURATION DU BLE
Résumé :	La transpiration journalière du blé au cours de la maturation est étudiée en fonction des facteurs physiques du climat par la méthode des vases de végétation. Un taux de transpiration de la plante est défini et il permet de suivre l’évolution de l’activité transpiratoire liée aux processus de maturation affectant l’ensemble de la plante. L’influence des journées à conditions physiques excessives est précisée. La transpiration des épis est étudiée par une technique appropriée et l’activité transpiratoire de ces derniers passe par ses valeurs maximales au cours de la période où se produit le stade du « palier de l’eau » des grains. Pour un même complexe climatique, les pertes d’eau transpirée par les épis sont alors les plus élevées.
Numéro du document :	A 10512/P00
Niveau Bibliographique :	2
Bull1 (Theme principale) :	RESSOURCES NATURELLES ET ENVIRONNEMENT
Bull2 (Theme secondaire) :	RESSOURCES EN EAU ET LEUR GESTION

Titre :	Problèmes d’évapotranspiration potentielle en Tunisie
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	J. Damagnez, Auteur ; Ch. Riou, Auteur ; O. de Vilele, Auteur
Année de publication :	1964
Importance :	p 371-386
Langues :	Français (fre)
Catégories :	SCIENCES AGRICOLES
Mots-clés :	TUNISIE  EVAPOTRANSPIRATION POTENTIELLE (ETP)
Résumé :	L’étude de l’évapotranspiration potentielle en Tunisie conduit à analyser les parts respectives des apports radiatif et convectif. A l’échelle de la Tunisie, l’évapotranspiration potentielle est en très bonne relation avec le rayonnement global absorbé.
Numéro du document :	A 10512/P00
Niveau Bibliographique :	2
Bull1 (Theme principale) :	RESSOURCES NATURELLES ET ENVIRONNEMENT
Bull2 (Theme secondaire) :	RESSOURCES EN EAU ET LEUR GESTION

Problèmes d’évapotranspiration potentielle en Tunisie [texte imprimé] / J. Damagnez, Auteur ; Ch. Riou, Auteur ; O. de Vilele, Auteur . - 1964 . - p 371-386.
Langues : Français (fre)

Catégories :	SCIENCES AGRICOLES
Mots-clés :	TUNISIE  EVAPOTRANSPIRATION POTENTIELLE (ETP)
Résumé :	L’étude de l’évapotranspiration potentielle en Tunisie conduit à analyser les parts respectives des apports radiatif et convectif. A l’échelle de la Tunisie, l’évapotranspiration potentielle est en très bonne relation avec le rayonnement global absorbé.
Numéro du document :	A 10512/P00
Niveau Bibliographique :	2
Bull1 (Theme principale) :	RESSOURCES NATURELLES ET ENVIRONNEMENT
Bull2 (Theme secondaire) :	RESSOURCES EN EAU ET LEUR GESTION

Titre :	Quantités d’eau d’irrigation par rapport aux données de l’appareil Piche sous abri
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	L.A. Reiss, Auteur
Année de publication :	1964
Importance :	p 387-397
Langues :	Français (fre)
Catégories :	SCIENCES AGRICOLES
Mots-clés :	EAU  IRRIGATION  ANALYSE AGRICOLE  EVAPOROMETRE PICHE
Résumé :	Les quantités d’eau optimales à fournir par irrigation peuvent être définies sous le climat d’Israel et dans les régions où le climat diffère complètement à partir de l’évaporation sous abri (mesurée sur évaporomètre PICHE). Le dépouillement d’un certain nombre d’essais d’irrigation permet d’établir des relations simples et commodes entre le rapport H/P (de la quantité d’eau apportée H à l’évaporation P), le degré de fertilisation du sol et l’humidité du sol atteinte avant l’irrigation.
Numéro du document :	A 10512/P00
Niveau Bibliographique :	2
Bull1 (Theme principale) :	RESSOURCES NATURELLES ET ENVIRONNEMENT
Bull2 (Theme secondaire) :	RESSOURCES EN EAU ET LEUR GESTION

Quantités d’eau d’irrigation par rapport aux données de l’appareil Piche sous abri [texte imprimé] / L.A. Reiss, Auteur . - 1964 . - p 387-397.
Langues : Français (fre)

Catégories :	SCIENCES AGRICOLES
Mots-clés :	EAU  IRRIGATION  ANALYSE AGRICOLE  EVAPOROMETRE PICHE
Résumé :	Les quantités d’eau optimales à fournir par irrigation peuvent être définies sous le climat d’Israel et dans les régions où le climat diffère complètement à partir de l’évaporation sous abri (mesurée sur évaporomètre PICHE). Le dépouillement d’un certain nombre d’essais d’irrigation permet d’établir des relations simples et commodes entre le rapport H/P (de la quantité d’eau apportée H à l’évaporation P), le degré de fertilisation du sol et l’humidité du sol atteinte avant l’irrigation.
Numéro du document :	A 10512/P00
Niveau Bibliographique :	2
Bull1 (Theme principale) :	RESSOURCES NATURELLES ET ENVIRONNEMENT
Bull2 (Theme secondaire) :	RESSOURCES EN EAU ET LEUR GESTION

Titre :	Rendement et évapotranspiration potentielle dans une oasis du Bas-Sahara
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	M. Girard, Auteur ; Ch. Baldy, Auteur
Année de publication :	1964
Importance :	p 399-414
Langues :	Français (fre)
Catégories :	SCIENCES AGRICOLES
Mots-clés :	EVAPOTRANSPIRATION POTENTIELLE (ETP)  PALMIERS  OASIS EL-ARFIANE
Résumé :	Un dispositif expérimental a été mis en place à El-Arfane pour étudier certains aspects du climat de l’oasis, notamment au point de vue du bilan hydrique. Ces données climatiques peuvent expliquer des modifications locales de rendement. Malgré des moyens très limités, on a pu mettre en évidence un certain nombre de faits intéressants pour l’étude du climat des oasis, les températures maximales et minimales dans l’oasis sont différentes de celles du désert, de façon variable selon les saisons. On peut avoir des écarts supérieurs à deux degrés en moyenne décadaire entre l’oasis et le désert. Une importante réduction du vent dans l’oasis et un effet de brise-vent à son voisinage modifient de façon importante les coefficients de ventilation des abris.
Numéro du document :	A 10512/P00
Niveau Bibliographique :	2
Bull1 (Theme principale) :	RESSOURCES NATURELLES ET ENVIRONNEMENT
Bull2 (Theme secondaire) :	RESSOURCES EN EAU ET LEUR GESTION

Rendement et évapotranspiration potentielle dans une oasis du Bas-Sahara [texte imprimé] / M. Girard, Auteur ; Ch. Baldy, Auteur . - 1964 . - p 399-414.
Langues : Français (fre)

Catégories :	SCIENCES AGRICOLES
Mots-clés :	EVAPOTRANSPIRATION POTENTIELLE (ETP)  PALMIERS  OASIS EL-ARFIANE
Résumé :	Un dispositif expérimental a été mis en place à El-Arfane pour étudier certains aspects du climat de l’oasis, notamment au point de vue du bilan hydrique. Ces données climatiques peuvent expliquer des modifications locales de rendement. Malgré des moyens très limités, on a pu mettre en évidence un certain nombre de faits intéressants pour l’étude du climat des oasis, les températures maximales et minimales dans l’oasis sont différentes de celles du désert, de façon variable selon les saisons. On peut avoir des écarts supérieurs à deux degrés en moyenne décadaire entre l’oasis et le désert. Une importante réduction du vent dans l’oasis et un effet de brise-vent à son voisinage modifient de façon importante les coefficients de ventilation des abris.
Numéro du document :	A 10512/P00
Niveau Bibliographique :	2
Bull1 (Theme principale) :	RESSOURCES NATURELLES ET ENVIRONNEMENT
Bull2 (Theme secondaire) :	RESSOURCES EN EAU ET LEUR GESTION

Titre :	Evaporation de l’eau du sol
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	A. Vernet, Auteur
Année de publication :	1964
Importance :	p 415-428
Langues :	Français (fre)
Catégories :	SCIENCES AGRICOLES
Mots-clés :	EVAPORATION  EAU DU SOL  EVAPOTRANSPIRATION
Résumé :	L’évaporation d’un sol nu peut être reliée de façon simple à l’évapotranspiration potentielle exprimée à partir de l’évaporation sous abri.
Numéro du document :	A 10512/P00
Niveau Bibliographique :	2
Bull1 (Theme principale) :	RESSOURCES NATURELLES ET ENVIRONNEMENT
Bull2 (Theme secondaire) :	RESSOURCES EN EAU ET LEUR GESTION

Evaporation de l’eau du sol [texte imprimé] / A. Vernet, Auteur . - 1964 . - p 415-428.
Langues : Français (fre)

Catégories :	SCIENCES AGRICOLES
Mots-clés :	EVAPORATION  EAU DU SOL  EVAPOTRANSPIRATION
Résumé :	L’évaporation d’un sol nu peut être reliée de façon simple à l’évapotranspiration potentielle exprimée à partir de l’évaporation sous abri.
Numéro du document :	A 10512/P00
Niveau Bibliographique :	2
Bull1 (Theme principale) :	RESSOURCES NATURELLES ET ENVIRONNEMENT
Bull2 (Theme secondaire) :	RESSOURCES EN EAU ET LEUR GESTION

Titre :	Influence de la matière organique, humifiée ou non sur l’évaporation
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	G. Charles, Auteur
Année de publication :	1964
Importance :	p 429-435
Langues :	Français (fre)
Catégories :	SCIENCES AGRICOLES
Mots-clés :	EVAPORATION  MATIERE ORGANIQUE HUMIFIEE
Résumé :	Des essais effectués en pots, ont montré que les pertes en eau du sol par évaporation sont favorisés par : les chaumes et les racines restés en place après la moisson par « effet de mèche », l’enfouissement de paille, l’évaporation étant plus importante pour de faibles quantités (305 kg/ha), et pour la paille longue plus que pour celle hachée et broyée ; l’enfouissement de fumier, le fumier pailleux agissant davantage que celui bien décomposé.
Numéro du document :	A 10512/P00
Niveau Bibliographique :	2
Bull1 (Theme principale) :	RESSOURCES NATURELLES ET ENVIRONNEMENT
Bull2 (Theme secondaire) :	RESSOURCES EN EAU ET LEUR GESTION

Influence de la matière organique, humifiée ou non sur l’évaporation [texte imprimé] / G. Charles, Auteur . - 1964 . - p 429-435.
Langues : Français (fre)

Catégories :	SCIENCES AGRICOLES
Mots-clés :	EVAPORATION  MATIERE ORGANIQUE HUMIFIEE
Résumé :	Des essais effectués en pots, ont montré que les pertes en eau du sol par évaporation sont favorisés par : les chaumes et les racines restés en place après la moisson par « effet de mèche », l’enfouissement de paille, l’évaporation étant plus importante pour de faibles quantités (305 kg/ha), et pour la paille longue plus que pour celle hachée et broyée ; l’enfouissement de fumier, le fumier pailleux agissant davantage que celui bien décomposé.
Numéro du document :	A 10512/P00
Niveau Bibliographique :	2
Bull1 (Theme principale) :	RESSOURCES NATURELLES ET ENVIRONNEMENT
Bull2 (Theme secondaire) :	RESSOURCES EN EAU ET LEUR GESTION

Titre :	Evaporation de l’eau à partir du sol nu
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	A. Féodoroff, Auteur ; M. Rafi, Auteur
Année de publication :	1964
Importance :	p 439-451
Langues :	Français (fre)
Catégories :	SCIENCES AGRICOLES
Mots-clés :	SOL NU  EVAPORATION  EAU  ETAT STRUCTURAL D'EVAPORATION
Résumé :	Dans un sol nu contenant de l’eau suspendue, c’est-à-dire reposant sur un substrat plus sec, l’évaporation s’exerce suivant 3 stades consécutifs : un premier stade à débit constant tant que le sol est gorgé d’eau, un second stade à débit décroissant à partir du moment où le sol est ressuyé et un troisième stade à faible débit résiduel très décroissant qui conduit, en l’absence prolongée de pluie, à un dessèchement prononcé des couches profondes du sol, et peut même entrainer à la longue, l’épuisement total des réserves, du moins dans les conditions du laboratoire. L’influence de l’état structurel , étudiée au laboratoire sur des agrégats<1mm et de 5 à 10 mm d’un sol argilo-limoneux, n’est que dans le stade initial de l’évaporation. Dans un climat peu évaporant, le sol agrégé évapore plus. Dans un climat évaporant, le sol agrégé évapore moins. A chaque instant il existe donc une différence entre la perte totale par évaporation du sol nu tassé et celle du sol agrégé. Dans les conditions de nos essais, cette différence est au maximum de 5 à 10 mm d’eau et va en s’amenuisant avec le temps.
Numéro du document :	A 10512/P00
Niveau Bibliographique :	2
Bull1 (Theme principale) :	RESSOURCES NATURELLES ET ENVIRONNEMENT
Bull2 (Theme secondaire) :	RESSOURCES EN EAU ET LEUR GESTION

Evaporation de l’eau à partir du sol nu [texte imprimé] / A. Féodoroff, Auteur ; M. Rafi, Auteur . - 1964 . - p 439-451.
Langues : Français (fre)

Catégories :	SCIENCES AGRICOLES
Mots-clés :	SOL NU  EVAPORATION  EAU  ETAT STRUCTURAL D'EVAPORATION
Résumé :	Dans un sol nu contenant de l’eau suspendue, c’est-à-dire reposant sur un substrat plus sec, l’évaporation s’exerce suivant 3 stades consécutifs : un premier stade à débit constant tant que le sol est gorgé d’eau, un second stade à débit décroissant à partir du moment où le sol est ressuyé et un troisième stade à faible débit résiduel très décroissant qui conduit, en l’absence prolongée de pluie, à un dessèchement prononcé des couches profondes du sol, et peut même entrainer à la longue, l’épuisement total des réserves, du moins dans les conditions du laboratoire. L’influence de l’état structurel , étudiée au laboratoire sur des agrégats<1mm et de 5 à 10 mm d’un sol argilo-limoneux, n’est que dans le stade initial de l’évaporation. Dans un climat peu évaporant, le sol agrégé évapore plus. Dans un climat évaporant, le sol agrégé évapore moins. A chaque instant il existe donc une différence entre la perte totale par évaporation du sol nu tassé et celle du sol agrégé. Dans les conditions de nos essais, cette différence est au maximum de 5 à 10 mm d’eau et va en s’amenuisant avec le temps.
Numéro du document :	A 10512/P00
Niveau Bibliographique :	2
Bull1 (Theme principale) :	RESSOURCES NATURELLES ET ENVIRONNEMENT
Bull2 (Theme secondaire) :	RESSOURCES EN EAU ET LEUR GESTION