Titre : |
Vers une compréhension des relations entre les baobabs et quelques éléments des écosystèmes forestiers de l'ouest de Madagascar : pollinisateurs, disperseurs et prédateurs |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
S Andriantsalaza, |
Editeur : |
Partenariat et Recherche en milieu Rural (PARRUR) |
Année de publication : |
2016 |
Importance : |
p. 349-368 |
Format : |
25 cm |
Note générale : |
|
Catégories : |
SCIENCES AGRICOLES
|
Mots-clés : |
MADAGASIKARA ADANSONIA ECOSYSTEME ACHATINA PREDATEUR FORET POLLINISATEUR |
Résumé : |
Pour compléter les connaissances scientifiques permettant de poser les bases d'une gestion durable des baobabs malgaches et des écosystèmes qui les abritent, le projet EcoBao (Ecosystème Baobab) a développé un ensemble d'études afin de préciser certaines interactions entre les baobabs et les autres éléments de leurs écosystèmes. Un focus a été fait sur les pollinisateurs, les disperseurs de graines et les prédateurs des jeunes plants. Nos résultats montrent que les baobabs sont pollinisés par les chauves-souris, les abeilles ou les microcèbes. mais les principaux pollinisateurs sont des papillons de nuit de la famille des sphingidae. Les sphinx sont adaptés à chaque espèce de baobab : la cohorte des pollinisateurs visitant les baobabs de la section des Brevitubae est différente de celle visitant les Longitubae. 64 composés, principalement aromatiques chez les Longitubae et aliphatiques chez les graines montrent que la mégafaune disparue (tortues géantes) ou actuelle (grand bétail) a été (ou est) apte à assurer une dissémination des graines. La dispersion par hydrochorie des graines est également efficace et peut expliquer la concentration spatiale à proximité des points d'eau de nombreux baobabs. L'importance des filtres environnementaux sur la distribution spatiale et sur la regénération naturelle des baobabs a été également mis en exergue. Enfin des résultats préliminaires montrent que les achatines peuvent avoir une action prédatrice sur les jeunes plants de baobab et donc avoir un effet négatif sur leur regénération |
Numéro du document : |
17B |
Niveau Bibliographique : |
2 |
Bull1 (Theme principale) : |
ECOLOGIE VEGETALE |
Vers une compréhension des relations entre les baobabs et quelques éléments des écosystèmes forestiers de l'ouest de Madagascar : pollinisateurs, disperseurs et prédateurs [texte imprimé] / S Andriantsalaza, . - Partenariat et Recherche en milieu Rural (PARRUR), 2016 . - p. 349-368 ; 25 cm.
Catégories : |
SCIENCES AGRICOLES
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Mots-clés : |
MADAGASIKARA ADANSONIA ECOSYSTEME ACHATINA PREDATEUR FORET POLLINISATEUR |
Résumé : |
Pour compléter les connaissances scientifiques permettant de poser les bases d'une gestion durable des baobabs malgaches et des écosystèmes qui les abritent, le projet EcoBao (Ecosystème Baobab) a développé un ensemble d'études afin de préciser certaines interactions entre les baobabs et les autres éléments de leurs écosystèmes. Un focus a été fait sur les pollinisateurs, les disperseurs de graines et les prédateurs des jeunes plants. Nos résultats montrent que les baobabs sont pollinisés par les chauves-souris, les abeilles ou les microcèbes. mais les principaux pollinisateurs sont des papillons de nuit de la famille des sphingidae. Les sphinx sont adaptés à chaque espèce de baobab : la cohorte des pollinisateurs visitant les baobabs de la section des Brevitubae est différente de celle visitant les Longitubae. 64 composés, principalement aromatiques chez les Longitubae et aliphatiques chez les graines montrent que la mégafaune disparue (tortues géantes) ou actuelle (grand bétail) a été (ou est) apte à assurer une dissémination des graines. La dispersion par hydrochorie des graines est également efficace et peut expliquer la concentration spatiale à proximité des points d'eau de nombreux baobabs. L'importance des filtres environnementaux sur la distribution spatiale et sur la regénération naturelle des baobabs a été également mis en exergue. Enfin des résultats préliminaires montrent que les achatines peuvent avoir une action prédatrice sur les jeunes plants de baobab et donc avoir un effet négatif sur leur regénération |
Numéro du document : |
17B |
Niveau Bibliographique : |
2 |
Bull1 (Theme principale) : |
ECOLOGIE VEGETALE |
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